La fin du travail: bienvenue dans l'ère postmarchande

c'est l'histoire d'un mec (Jérémy RIEFKIN) qui a écrit au milieu des années 1990) qu'on atteignait une ère de fin de travail:

Le développement économique a pour but de d'améliorer les capacités productives de l'Homme. Or, au cours du dernier siècle, ces progrès ont été si fulgurants qu'on en est arrivé quasiment arrivé au but (c'est écrit dans les 90's je répète).

Désormais on peut produire des quantités colossales de produits avec des quantités extrêmement faibles de tavail:



Est-ce l'annonce de l'extinction du travail?

ouais...!!

T'as raison louloute...je m'aplique dans cette dimenssion , dans un temps donné et avec les moyens du bord , je laisse du boulot en pagaille pour les générations futures....

Toutes facon...je vais pas y ariver ..mdr !

bisou

L'extinction du travail, j'en doute fort. Plus on peut produire, plus on produit et plus on nous gave de biens inutiles. A la surproduction répond la surconsommation.

D'ailleurs, il y a un secteur qui ne sera jamais remplacé par la robotique, c'est celui des services. Pour preuve, la majorité des gens travaille dans le tertiaire, et ce depuis seulement quelques décennies.

Fin du travail...Je ne crois pas.
Fin du travail industriel à l'heure actuel, non plus. Le tertiaire explose en occident, pour la simple raison que c'est le tiers monde... euh pardon...les pays en voie de développement qui se tapent désormais le travail à la chaîne.
"Dire qu'il suffirait que les gens arrêtent d'en acheter, pour que ça ne se vende pas "disait Coluche. Qui est responsable, l'offre ou la demande? Allez, on va se dédouaner un peu, on va dire les deux. Le ralentissement du processus viendra fatalement de l'épuisement de certaines ressources. On dirait que ça commence non?
Le travail ne disparaitra pas en tant que tel, ce sont sa forme et ses finalités qui vont changer. Nous y serons obligés.

Le travail gardera sa définition propre, cependant il prendra d'autres formes, d'autres extensions obligatoirement.

La mondialisation, c'est-à-dire, le sans-frontière, fera que nous serons obligés de revoir ses valeurs (économiques, de partage/rétribution, d'application, d'inventions aussi, etc de ce dernier)...

Ce n'est pas être grand penseur que de dire que ce qui s'élargit dans une sorte de béance générale d'un bout, prdduit une espèce de resserrement, communautaire à l'autre côté, c'est la loi de compensation. (Revoir les grands tableaux de Jérome (nimus) Bosch..l'humain pris dans des tourmentes tente de s'agglutiner afin de ne point disparaître, la vie étant ressentie comme un bien à préserver, pour soi.

C'est un mouvement physique (au sens scientifique, pourrions-nous dire)....Un utérus petit, grandit, grossis, explose, puis se rétrécit.

Une ville, sans voiture, se structure pour les recevoir dans un premier temps elle souhaite les accueillir - comme des antibiotiques qui anihilent la pauvreté, puis ces dernières l'envahissant, tels des microbes tenances, prenant trop de place, il faut les en soustraire, les réduire, voire les supprimer. On boucle à nouveau la ville, on réduit le champ automobile par des plots (sortes de guerriers chimiques à supprimer l'invasion).

La nature si vous la regardez fait qu'elle s'ouvre, puis se referme, pour naître à d'autres méthodes, perspectives, mais toujours dans une sorte de cycles répititifs, moins visibles, car nous perdons la notion du rythme de la vivance qui sourdra, même si nous voulons l'ignorer.

La prolifération démographique, oblige à concevoir les cycles et la vision temporelle de ces derniers de manière moins sensibles, mais ils demeurent constants :

- Ouvrir d'un côté,
- Fermer de l'autre,

etc.....

Enfin, pensé-je ! :)