je t'aime comme une chanson désespérée...
Mon désir implorant de t’atteindre
Car à la place du cœur il ne faut jamais feindre
D’aimer éperdument ,
Sans en avoir l’air et jusqu’au bout de nos vies
Aimer à n’en plus pouvoir et seulement se regarder
Espérer et revivre Aimer avec toute son âme
Aimer comme jamais et ne jamais laisser s’éteindre
Cette flamme qui nous donne envie de nous étreindre
Dans des souffles impossibles de bien être
Dans un échange de cœur et d’esprit, de peaux brûlantes
De ramifications de sentiments comme les arbres qui pleurent
Saules éteints des tristes souvenirs et d’une joie nouvelle
Ne plus jamais dériver sur un chemin
Jamais balisé ou aller là où ils abusèrent de mon corps comme de mon cœur
Mon cœur n’appartient plus qu’à toi et jamais au grand jamais ne te décevra
Sauf si il veut dans sa jalousie
M’envoyer dans des puits sans fond, ou m’humilier.
Sache seulement que jamais mon cœur ni mon âme ni ma vie ne
Se perdra dans ces puits car elle est désormais trop ancrée dans
La douce réalité des mots…et la beauté, assise sur tes genoux
et ton regard absent,fut aussi intérieure qu’extérieure, comme la tienne
Et ce diable qui te hantait t’a fui à jamais,
Ce diable impossible qui ne faisait pas partie de toi t’a laissé partir
Pour un cœur meilleur et plus doux d’aimer
Les demain et les aujourd’hui, les hier et les lendemains
Toujours meilleurs et jamais plus oppressants, oppression vaincue
Diable vaincu il ne restait qu’un soleil dans ton cœur et tu as salué la beauté
je t'aime comme une chanson désespérée...
Oh comme douce est cette soirée de quiétude
Dans ce logis que je quitterai pour courir dans tes bras.
Mon homme, je t’attends, mon homme, montre-toi,
Je veux voire ton visage et faire taire ma solitude
De ce monde obscur et sombre, mais tendre, enfin
Cette joie immense que je voulais t’offrir, en vain
Celle d’un enfant assumé, et nous serions aimés
Pour le meilleur et renonçons au pire, protégés.
Eternel mari, je sais que ton cœur papillonnant
Attend de se poser sur mon sein rassurant
Attend de se loger sur mes lèvres fraîches et palpitant
A t’aimer à chaque instant d’un sentiment étonnant.
plusieurs réponses possibles...
l'avouer, c'est prendre un risque, et plus tard, dans toutes les situations, tour à tour...
aimer qu'est ce que c'est???
c'est simplement à sa vue sentir le désir mêlé de sentiments et s'extasier surtout quand on se rend compte avec joie que les sentiments sont partagés...
c'est l'envie de fusionner avec cet être aimé et ne plus vouloir se quitter et tout vivre avec cet être là et cela reste possible à tout moment...
Une petite flèche au creux du coeur d'un dieu qu'on aime bien et ça y est c'est parti pour des mois voire des années...le rste n'a plus d'importance...
quand on est avec l'être aimé...
prose
Mon désir implorant de t’atteindre
Car à la place du cœur il ne faut jamais feindre
D’aimer éperdument ,
Sans en avoir l’air et jusqu’au bout de nos vies
Aimer à n’en plus pouvoir et seulement se regarder
Espérer et revivre Aimer avec toute son âme
Aimer comme jamais et ne jamais laisser s’éteindre
Cette flamme qui nous donne envie de nous étreindre
Dans des souffles impossibles de bien être
Dans un échange de cœur et d’esprit, de peaux brûlantes
De ramifications de sentiments comme les arbres qui pleurent
Saules éteints des tristes souvenirs et d’une joie nouvelle
Ne plus jamais dériver sur un chemin
Jamais balisé ou aller là où ils abusèrent de mon corps comme de mon cœur
Mon cœur n’appartient plus qu’à toi et jamais au grand jamais ne te décevra
Sauf si il veut dans sa jalousie
M’envoyer dans des puits sans fond, ou m’humilier.
Sache seulement que jamais mon cœur ni mon âme ni ma vie ne
Se perdra dans ces puits car elle est désormais trop ancrée dans
La douce réalité des mots…et la beauté, assise sur tes genoux
et ton regard absent, fut aussi intérieure qu’extérieure, comme la tienne
Et ce diable qui te hantait t’a fui à jamais,
Ce diable impossible qui ne faisait pas partie de toi t’a laissé partir
Pour un cœur meilleur et plus doux d’aimer
Les demain et les aujourd’hui, les hier et les lendemains
Toujours meilleurs et jamais plus oppressants, oppression vaincue
Diable vaincu il ne restait qu’un soleil dans ton cœur et tu as salué la beauté
01/05
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