réthorique maladroite et quelque peu usée a.
Il ne s'agit pas de défendre à tout prix le capitalisme mais plûtot de voir ce qui motive sa création, sa subsistance même si il a de très nomvreux certains revers
Citation:
Ton "autre" regard est celui du même et la fondation idéologique du capitalisme dans la nature qui lui sert de justification est aussi vieille que lui: identification.
Documente-toi, toi aussi, apprends, étudie, laisse macérer, médite, remonte aux sources du grand écart.
D'ici là, garde tes effets de manches: le simplisme est chez toi.
:P)
Je trouve ici ton agrumentation du type "tu n'est pas du bon côté, moi, je suis parfait" assez unilatérale quelque peu usée et totalitaire. Toi qui aimes tant les manches prends-garde à leurs revers aveugles. Ce pas la tant la critique que je rejette mais plutôt son argumentation qui la rend bancale. :)
Respectueusement,
Philator
réthorique maladroite et quelque peu usée a.
Il ne s'agit pas de défendre à tout prix le capitalisme mais plûtot de voir ce qui motive sa création, sa subsistance même si il a de très nomvreux certains revers
Citation:
Ton "autre" regard est celui du même et la fondation idéologique du capitalisme dans la nature qui lui sert de justification est aussi vieille que lui: identification.
Documente-toi, toi aussi, apprends, étudie, laisse macérer, médite, remonte aux sources du grand écart.
D'ici là, garde tes effets de manches: le simplisme est chez toi.
:P)
Je trouve ici ton agrumentation du type "tu n'est pas du bon côté, moi, je suis parfait" assez unilatérale quelque peu usée et totalitaire. Toi qui aimes tant les manches prends-garde à leurs revers aveugles. Ce pas la tant la critique que je rejette mais plutôt son argumentation qui la rend bancale. :)
Respectueusement,
Philator
Biocapital et capital bio.
On n’atteint pas à la nature du monde sans la devenir.
Pour cela, il faut arrêter de la fuir et d'en avoir peur: il y a trop longtemps que nous ne ne reproduisons plus que cela (dieux et concepts n'en sont guère que les cris pétrifiés) et, comme nous sommes la totalité de cette nature, de considérer tout ce qui vit comme une menace, à commencer par le corps et l'autre. Le nickel-chrome est l'obsession bourgeoise par excellence: pas de parasite, pas de peluche, pas de tache, pas de ride, pas d'autre, pas de différence, que du même qui se reproduit.
L'ascétique a façonné le puritain et celui-ci le clone.
Le ventre devenu esprit atteste de la rage de l’idéalisme, parti vers l'absolu de ce sens contraire devenu contresens absolu. Voir la nature et le corps humain dans le capitalisme relève encore et toujours de la même logique, même atténuée et sensible : projection, identification, réduction. C'est naturel, normal, rationalisé, organique, bio. Rassurant, surtout quand ça rapporte.
Il suffit de fermer le portail de l'enceinte, les volets de la maison puis enfin les yeux pour ne plus voir ni entendre ceux au détriment desquels se rassurer inquiète : l'objectivation fait peur à voir.
Celle-ci témoigne d'une identité avec le système dont on profite, comme du capital qu’est le corps autour duquel on stocke ce qu'on ne donne pas, mais qui y renvoie : les gisements où l'on n'a pas encore puisé pour advenir et auxquels, quel que soit le malaise, on ne veut toucher. Au-dedans, la lumière veille, comme l'oeil était dans la tombe et regardait Caïn: on a beau ne pas regarder, nous voyons.
De quoi avoir peur? Il n'y a rien à défendre ou protéger dans le don. Justement: de don, point. Ca ne rapporte pas. Vendre son petit trésor contre un contrat de mariage aboutit à ne plus abandonner à quiconque le bénéfice de soi-même. Le mépris retourne au mépris: cela ne s'achète pas, effectivement. On ne paie que pour se soustraire aux lois dont on afflige les autres.
Pour ceux qui n'ont pas le choix, ce qui est retiré d’alimentaire parce qu’ils se débarrassent de la crainte ou deviennent surnuméraires, ne laisse que l’essentiel.
Sans compensation, ni fuite, ni soumission, advenir est à la fois plus pénible et plus rapide : nécessité inconsciente et absolue dont crime et suicide marquent les échecs les plus terribles.
Entre ces deux extrêmes, tous les maux.
Violence, non de la nature, mais de l'humain dé-naturé, mentalisé, desséché.
La nature n’a rien d'aveugle, seul l’homme, moment de cette nature, l’est parce qu'il l'est à lui-même. Le capitalisme est sa machine à se, nous, tout dominer et exploiter de la façon la plus froide et criminelle qui soit, pilotée par une ratio totalement irrationnelle: séparée.
Schize de l’Ego collectif, aveugle et irresponsable.
Son corps est anatomique et Oedipe ontologique.
La Terre, elle, donne ses fruits.
Et l’énergie subtile est inépuisable.
Entre les deux, quelques ponts trop rares : des "Hommes", "Anthropos", "Surhumains".
Des sujets et soi advenus parmi le flux des bulles échappées au tombeau qui retrouvent petit à petit le chemin occulté.
« Plutôt se tromper seul qu'avoir raison en groupe », écrit Onfray.
« L'erreur ne devient pas vérité parce qu'elle se propage et se multiplie; la vérité ne devient pas erreur parce que nul ne la voit » (n'est-ce pas, Philator?), disait Gandhi.
« Où prendre notre impératif? Il n'y a pas de "tu dois"; il n'y a que le "il faut que je..." du tout-puissant, du créateur », martelait Nietzsche.
Adepte du naturel, ayant embrassé d'un regard le semeur et son champ, comme on amorce une pompe et donnant peu pour récolter beaucoup, le bourgeois, lui, crée des emplois : il s'économise en dépensant les autres.
Re: réthorique maladroite et quelque peu usée a.
Citation:
Provient du message de philator
Il ne s'agit pas de défendre à tout prix le capitalisme mais plûtot de voir ce qui motive sa création, sa subsistance même si il a de très nomvreux certains revers ..Je trouve ici ton agrumentation du type "tu n'est pas du bon côté, moi, je suis parfait" assez unilatérale....
Oui difficile Philator de faire comprendre des choses qui sont pourtant simples. Je dis pourtant tout ça sans aucun parti pris, mais en France surtout, on ne peut parler objectivement de "capitalisme" sans être suspecté de prendre parti pour les riches "bourgeois", tellement ces caricatures de type marxiste sont ancrées dans les mentalités profondes, même chez les gens cultivés.
Dur dur, et par moments, je fatigue...... :(
:smi