une p**ain dans un monde sans trottoir?
Difficile de se satisfaire d'une définition de la vie en relation à la mort...
De même que ne pas être malheureux n'est pas égal à être heureux, ne pas être mort ne signifie pas être en vie.
Cette façon de coder la réalité en binaire façon Aristoto (A=77A) est une entreprise de fumisterie..
Chercher une définition positive du sens de la vie suppose un dépassement d'une simple négation immédiate de la mort.
Trouver SON sens de SA vie inclurait donc une affirmation (restons nietzschéens) d'une valeur transcendante à atteindre (nietzschéisme bancal), ou d'une valeur immanente (humanisme réduit), ou alors d'un refus de valeurs (nihilisme inachevé).
Ces trois solutions restent imparfaites tant elles demeurent du domaine de l'immédiateté. Approcher au plus près d'un "sens" de la vie" serait plus -à mon sens- a chercher du côté de la dialectique existentielle traversant Plotin, Hegel, Fichte, Kierkegaard, Heidegger, etc.
Ou comment l'Homme se gagne à travers l'épreuve du négatif. Loin de chercher à exclure la mort dans la quête du sens de la vie, je la placerai plus comme un pallier necessaire dans l'aventure.