Vu de cette façon effectivement aucune vague abonde, sinon sous l'angle d'une seule meurtrière ! :hou-hou
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>>> Volontairement, ou tout du moins partiellement volontairement nous pouvons modifier le fonctionnement de notre cerveau nan? N'y-a-t-il pas dans une dépression une part de volonté de l'individu à se plonger dans l'état que tu décris scientifiquement et médicalement si bien? (toujours curieux...ça perd un peu de son charme sinon...les sceptiques ah ah ah !!! l'étymologie et les mots qui peuevent tout dire...)
>>> Bisous à tous...
>>> J'envisage que la longueur d'onde de "mes vagues qui abondes" ne te soit pas familière? Mais que diable! stop aux coups bas ! Il n'y a bien que les journaleux de pacotilles qui se permettent le "couper/coller"...Quelle magnifique sortie de contexte...
>>> Ma prose au dire de "Maîtresse Compréhension" ne se veut point "meurtrière" mais lumineusement "guili guili"...
Justement nous nous rejoignons... Jamais de copier/coller, la meilleure colle doit-elle ne dure pas.
>>>"couper/coller" et non "copier/coller"...c'est surtout ici que je pointais le doigt qui s'y colle maintenant malgré moi...mais parler pour ne rien dire n'est pas à mon programme aujourd'hui ("malgré déjà")...casser la structure atomique de la colle pour retirer mon doigt...hum *pense* hum...qu'on m'apporte une machette (=> symbole)...
>>> merci à toi prosodie...
Si tu arrives à modifier la chimie de ton système nerveux à volonté, et sans l'aide d'une drogue quelconque, je vais te présenter des amis chercheurs, tu vas les interresser...Que la relaxation ou le yoga soit efficace pour apaiser tout un chacun, je n'en doute pas (si c'est à cela que tu penses), mais dire à un maniaco-dépressif en phase up (phase maniaque) de se relaxer en soufflant , en position du lotus et de stopper ses thymo-régulateurs,c'est comme dire à un cancéreux d'arrêter la chimiothérapie, pour se mettre aux bonbons ricola. Libre à lui d'y croire, libre à vous d'y croire...
Quand à savoir si un dépressif s'est choisi sa depression, personnellement j'en doute, quand on voit comment terminent les vrais dépressifs non traités. Je parle des vrais dépressions nerveuses, pas des périodes de "moral dans les pompes", que tout le monde peut se taper un jour ou l'autre.Là effectivement se botter soi même le cul peut être salutaire, mais dire à un authentique dépressif, c'est à dire à quelqu'un atteint d'une maladie psychiatrique de prendre sur lui, c'est comme dire à un diabétique de prendre sur lui, c'est juste inutile.
>>> Désolé je me suis mal exprimé. Je ne voulais pas dire "modifier le fonctionnement de son cerveau à volonté", mais "par la volonté pouvoir modifier partiellement le fonctionnement de son cerveau"...Je ne me prête aucune prétention biologique ou médicale ( à part les séries américaines bourrées d'inepsies et un ami médecin -7 enfin bref), seulement une curiosité tatillonne.
>>> Je sais qu'"on" est par exemple capable d'augmenter son taux d'adrénaline seulement en se stimulant volontairement (mais artificiellement) "mentalement".
>>> Je ne sais pas non plus si c'est forcément lié au fonctionnement du cerveau que tu décris mais certaines autres personnes sont capables de sombrer dans un état cataplexique et peuvent même gérer l'action de "muscles" tel que le coeur.
>>> Cela reste une curiosité déviante j'en suis conscient...et les placebos dans tout ça ?
Il y des yogis qui à volonté diminuent leur rythme cardiaque, voir abaissent leur température corporelle, c'est exact, mais ces individus, pratiquent des yogas trés durs, aux quels il s'adonnent généralement depuis l'enfance, et sous la férule de maîtres. Pour la science occidentale, ils sont une énigme et une voie d'étude. On utilise aussi l'hypnose en chirurgie, pour diminuer les dosages anesthésiques, et ça fonctionne trés bien. Mais pour l'instant, en dehors de la thérapie chimique , accompagnée certes d'une psychothérapie et parfois de traitements annexes (luminothérapie, sophro-relaxation), traiter une dépression ne se fait pas tout seul.L'automédication existe chez les dépressifs, on appelle ça des addictions, l'alcool par exemple. On est en train de s'apercevoir qu'une bonne partie des alcooliques, sont en fait des dépressifs qui s'ignorent, et qui boivent par auto-médication, mais sans le savoir. Ce n'est pas le cas de tous les alcooliques, mais pour certains il s'agit bien d'un symptome de dépression.