Travail acharné (?) vient à bout de tout ?
Slut ! Je ne sais pas si le travail acharné vient vraiment à bout de tout : c'est ce que je pensais en terminale, et en arrivant en prépa, je crois que j'ai dû un peu revoir mes certitudes! Il y aussi le temps, avec lequel il faut composer... Mais je maintiens qu'il est très important pour la réussite ! Ceux qui ont eu le ccours étaient de gros bosseurs (bis), mais ils me semblaient pas le faire (sauf moments de gros coup de barre) en trainant la patte! Le plus étonnant dans la tranformation du préparationnaire, c'est qu'il y a souvent un moment où il embraye vraiment, et qu'à force de se soumettre à un rhytme de travail régulier, il devient "work addict" ! Un pote qui a intégré m'a déclaré qu'il ne pouvait plus s'arrêter (pour moi c'était pareil au début de ces vacances qui me séparent de l'année de khûbe!). Mais rassure toi : si on continue à le faire, c'est que, par on ne sait quel mystère, le travail est presque devenu un loisir (qd on aime on ne compte plus!). Et puis, au pire, pour éviter de tourner en vase clos et nous sortir un peu du système de la khâgne, les vacances sont qd même opérantes : j'ai eu de moins en mois envie de bosser au fur et à mesure qu'elles avancaient ! :smi
De toute façon, on ne fait pas que bosser en prépa : évidemment, on est censé être là pour ça, mais il y a aussi des soirées pour décompresser, des voyages scolaires dans certains lycées, svt seulement en hypo (nous, c'était à Venise), et du tps libre pour discuter (ah, les repas à la cantine!...). Et même si la dose de boulot à fournir est énorme, elle ne s'effectue pas du tout dans la même ambiance que dans le secondaire. Les profs sont (en général) bcp plus sinon proches, du moins détendus avec leurs élèves : plus d'excès débile d'autoritarisme, vous devenez leurs poulains, vous n'êtes plus leur basse-cour ! Et tu n'es pas seule : il peut y avoir de l'entraide en prépa, et l'effet de masse de tout une classe qui bosse, quand bien même il n'y en aurait pas, ça porte !
Pour les fiches, j'en ai vraiment très peu fait, sauf pour l'histoire, depuis l'arrivée d'une prof qui a imposé un système collectif (chacun fait sa fiche et la fait reproduire en 33exemplaires pour la classe - exemple de solidarité) : les fiches étaient sur des sujets pointus (type : la langue française du début des 1880's au début des 1990's) ou plus de synthèse (l'URSS dans les RI de 1918 à 1990). En fait, vu que le programme d'histoire à Ulm est gigantesque, le rôle des fiches est plutôt de réorganiser le cours pour répondre au sujet (ce qui aide à mieux l'assimiler), voire de faire des recherches pour y répondre, qd le cours n'a pas été fait, que de résumer le cours. Plus du complément que du résumé. Mais des élèves avaient le temps de faire des fiches "résumé" : je suppose qu'ils attendaient la fin d'un chapitre pour que ça fasse un ensemble et que la fiche ait une véritable ligne directrice!
Oui, c'est très recommandé d'aller faire des recherches en histoire entre les cours pour les compléter : mais les fiches de complément, si elles existent dans ton lycée, auront ce rôle!
Voilà, à plus, et courage : c'est pas si terrible qu'on le dit, avec un peu d'organisation. A toide trouver les méthodes qui te correspondront et qui seront les plus efficaces (se laisser dicter les méthodes dominantes, c'est jms bon si tu n'en tire pas toi-même parti! ne fais des fiches que si tu penses que ça t'aidera réellement !)
Travail acharné (?) vient à bout de tout ?
Slut ! Je ne sais pas si le travail acharné vient vraiment à bout de tout : c'est ce que je pensais en terminale, et en arrivant en prépa, je crois que j'ai dû un peu revoir mes certitudes! Il y aussi le temps, avec lequel il faut composer... Mais je maintiens qu'il est très important pour la réussite ! Ceux qui ont eu le ccours étaient de gros bosseurs (bis), mais ils me semblaient pas le faire (sauf moments de gros coup de barre) en trainant la patte! Le plus étonnant dans la tranformation du préparationnaire, c'est qu'il y a souvent un moment où il embraye vraiment, et qu'à force de se soumettre à un rhytme de travail régulier, il devient "work addict" ! Un pote qui a intégré m'a déclaré qu'il ne pouvait plus s'arrêter (pour moi c'était pareil au début de ces vacances qui me séparent de l'année de khûbe!). Mais rassure toi : si on continue à le faire, c'est que, par on ne sait quel mystère, le travail est presque devenu un loisir (qd on aime on ne compte plus!). Et puis, au pire, pour éviter de tourner en vase clos et nous sortir un peu du système de la khâgne, les vacances sont qd même opérantes : j'ai eu de moins en mois envie de bosser au fur et à mesure qu'elles avancaient ! :smi
De toute façon, on ne fait pas que bosser en prépa : évidemment, on est censé être là pour ça, mais il y a aussi des soirées pour décompresser, des voyages scolaires dans certains lycées, svt seulement en hypo (nous, c'était à Venise), et du tps libre pour discuter (ah, les repas à la cantine!...). Et même si la dose de boulot à fournir est énorme, elle ne s'effectue pas du tout dans la même ambiance que dans le secondaire. Les profs sont (en général) bcp plus sinon proches, du moins détendus avec leurs élèves : plus d'excès débile d'autoritarisme, vous devenez leurs poulains, vous n'êtes plus leur basse-cour ! Et tu n'es pas seule : il peut y avoir de l'entraide en prépa, et l'effet de masse de tout une classe qui bosse, quand bien même il n'y en aurait pas, ça porte !
Pour les fiches, j'en ai vraiment très peu fait, sauf pour l'histoire, depuis l'arrivée d'une prof qui a imposé un système collectif (chacun fait sa fiche et la fait reproduire en 33exemplaires pour la classe - exemple de solidarité) : les fiches étaient sur des sujets pointus (type : la langue française du début des 1880's au début des 1990's) ou plus de synthèse (l'URSS dans les RI de 1918 à 1990). En fait, vu que le programme d'histoire à Ulm est gigantesque, le rôle des fiches est plutôt de réorganiser le cours pour répondre au sujet (ce qui aide à mieux l'assimiler), voire de faire des recherches pour y répondre, qd le cours n'a pas été fait, que de résumer le cours. Plus du complément que du résumé. Mais des élèves avaient le temps de faire des fiches "résumé" : je suppose qu'ils attendaient la fin d'un chapitre pour que ça fasse un ensemble et que la fiche ait une véritable ligne directrice!
Oui, c'est très recommandé d'aller faire des recherches en histoire entre les cours pour les compléter : mais les fiches de complément, si elles existent dans ton lycée, auront ce rôle!
Voilà, à plus, et courage : c'est pas si terrible qu'on le dit, avec un peu d'organisation. A toide trouver les méthodes qui te correspondront et qui seront les plus efficaces (se laisser dicter les méthodes dominantes, c'est jms bon si tu n'en tire pas toi-même parti! ne fais des fiches que si tu penses que ça t'aidera réellement !)
Bâcler ou zapper ? / Le latin en prépa.
Tinquiètes pour les questions : tu saurasqd tu seras en hypo qu'il n'y a rien de plus flatteur que de répondre aux angoisses des nouveaux venus ! :D
C'est évident que t'auras sans doute pas le temps de tout faire, à moins d'être une turbo-khâgneuse (ça existe mais c'est rare!). Tout l'art du préparationnaire averti (peut-être aussi toute son inconscience) est, tout en sachant qu'il n'arrivera jamais à tout faire, d'en garder l'idéal en tête! Le résultat : une productivité triplée! Incoinsciemment, on sélectionne l'essentiel.
Donc oui : tout en partant dans cette optique, il vaut mieux bâcler que zapper un travail à faire, sachant que les profs sont en général plutôt compréhensifs pour être passés par là (même s'ils ne le montrent pas forcément pour tirer encore plus de vous) et que s'ils ne t'encourageront pas dans cette voie, ne te fondront pas forcément dessus à la moindre taule (l'important, c'est que ça ne se répète pas : on a des accidents de parcours jusqu'en khûbe ; l'important, c'est la progression générale)
Ce qui ne veut pas dire qu'il faut se laisser aller au baclage! D'où l'importance de l'organisation : découpage de tes soirées et de tes week en programme -jusquà maintenant le meilleur moyen connu pour avoir l'impression d'avancer (et avancer effectivement) dans toutes les matières!- en gardant dans l'esprit (surtout si tes en Ulm, section polyvalente ou ttes les matières ont le même ont le même coeff. - au fait tu veux aller en quoi?) que chque matière = 1/6è du temps, pour ne pas laisser l'histoire prendre trop de place... Places aussi à garder pour le sport, le loisir ou la glande occasionnelle si le vase déborde...
Tu peux aussi, si tu n'as pas le temps de tout faire, te permettre qq entorses en favorisant les matières dans lesquelles tu réussis le plus : c'est évidemment déconseillé par les profs et faut pas partir avec cette idée en tête, mais il faut aussi savoir établir ses priorités si l'on est submergé et que le concours blc approche... (pour moi, les langues étaient un moyen de grapiller des points plus facilement, c'est pourquoi j'ai souvent fait passer le latin, le grec et langlais avant les trois disserts : c'est pas malin et maintenant que je vais être en khûbe il va falloir que je me relève sérieusement dans mes matières faibles, mais sur le coup ça peut aider à pas couler dans le classement!...) Mais je répète : seulement en cas de débordement!
Comme tu l'as lu, oui je fais du latin (avec grec : option lettres classiques). Ya un saut entre la term et l'hypo, mais il doit dépendre de l'état de l'enseignement du latin dans le lycée d'où tu viens, de son statut pour ton bac (si tu l'as pris en spé ou en option, à l'écrit ou à l'oral... - les élèves de spé écrit sont censés être meilleurs que les autres, mais là encore c'est loin d'être systématique!) En fait, je vais parler pour la section Ulm, mais je suppose qu'en hypo le programme est à peu près le même pour toutes les sections, et dans tous les lycées : le grand saut, c'est qu'on ne se contente plus de reproduire la traduction du prof après l'avoir apprise par coeur. Je ne sais pas si tu faisais ça, et je parle pour la grde majorité des latinistes lycéens aujourd'hui ; en tout cas, moi j'ai fait ça en term, d'autant plus que je l'avais le latin en option oral : j'ai appris bêêêêtement tous mes textes par coeur, et je me suis tapé, comme tous les élèves de la classe à qq exceptions, un 20 scandaleux.
On nous entraîne à traduire cursivement des textes, un élève après l'autre (ya du vocabulaire à côté!). Sinon, c'est version à la maison et en classe, avec ce cher Gaffiot, plaches hebdomadaires, tous les élèves préparent, un élève se désigne et passe pdt 30min. avec sa traduc et son comm., et les colles (là tu t'inscris sur un kholloscope, et une fois par trimestre tu prépares pdt une heure ta traduc sur le texte donné -sans dico- et ton commentaire, et tu passes devant le prof pdt 30min (oral type concours). Ah oui , le thème aussi, j'oubliais. Normalement, c'est nouveau, on en a pas tellement fait au lycée! Lais c'est ce qui aide le mieux à assimiler la GRM.
Attention ! Si jamais ce bond te parait énorme, songe que la plupart des élèves seront davant le texte de latin comme une poule qui a trouvé un couteau. Même en hypokhâgne, aujourd'hui le niveau de latin des élèves entrants est à peu près nul : moi aussi je minquiétais, je craignais de me trouver nez-à-nez avec une bande de petits Cicérons, eh bien même au Parc... non. Ce qui compte, c'est les progrès que tu vas faire, et sûrement pas ton niveau en entrant. Je suis en ayant loupé l'année de latin en seconde, puis en l'ayany repris en première...
Pourtant le niveau est bon à la fin de l'hypo ! Le but est que tous les niveaux arrivent au même point : c'est souvent loin d'être atteint, mais il arrive pfois qu'un débutant s'en tire bien et passe en cours d'année dans le groupe au-dessus, voire qu'il dépasse ses condisciples confirmés en khâgne. La raison en est simple : ils recoivent, pdt un an, un concentré panoramique de la GRM latine, et en ont mieux en tête le système général que ceux qui l'ont apprise bon gré mal gré au collège ou au lycée. Moi, j'étais en débutant grec ancien, eh bien en khâgne pas de problème! Il faut faire gaffe à ne pas nonplus se sous-estimer : ce n'est jms bon d'être dans le grpe des débutants alors qu'on a largement le niveau d'être chez les confirmés! Pour éviter toute ruée désespérée vers le dernier groupe, ils ont organisé au début de l'année un test censé nous départager, et nous ont répartis d'office dans les groupes sans demander noitre avis.
Quelques conseils pour s'en tirer : apprendre régulièrement du voc. (je traçais une colonne dans la marge des textes traduits en classe, où je notais tout mot nouveau, ou toute remarque de GRM -crois moi c'est payant!- mais tu peux aussi t'engouffrer les mots latins de Martin, c'est très bien.), apprendre ou réviser des points de GRM (le plus souvent on le fait en contexte, mais tu peux courir jeter un coup d'oeil dans une GRM : le "précis de grammaire des lettres latines" de Gason-Thomas-Baudiffier, édition Magnard - ya une mosaïque avec un ibis sur la couverture- est la plus simple, la plus claire et la plus accessible. Et surtout pas la Sausy, qd bien même on te la conseillerait, sauf si tes déjà une latiniste émérite : à réserver pour la khâgne, voire pour les spé lettres classiques et les affres du thème! Enfin, le petit latin est très payant si tu as le temps. A faire à deux sur une édition bilingue : chacun traduit une phrase, pendant que l'autre regarde la traduc en français et l'aiguille pour les pb de voc ou de construction. Il ne faut pas foncer sur le dico ou sur la GRm à la première occasion : le but est de se dépatouiller rapidement pour comprendre un texte latin ! Avec ça on progresse à une vitesse monstre, paraît il (moi je my suis jms vraiment mis par manque de discipline mea culpa!) mais il faut mieux prendre un texte qui ne soit pas trop compliqué pour commencer, genre un Cicron pas trop chiant t pas trop dur (on ne commence pas par le Cato Major!) ou un César (la guerre des gaules...) : les deux auteurs classiques sur lesquels on doit régler son vocet ses structures de GRM pour le thème.
Voilà. Hésite pas pour les autres angoisses et du calme : les progrès viendront avec l'habitude : il n'y a rien de plus simple que le latin une fois qu'on a la GRM et le voc de base dans la tête, avec qq réflexes de tradux quye tu acquerras vite!