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Bonjour,
« Savoir que l’on croit c’est déjà ne plus croire », une citation de J.P.Sartres qui constitue des lors mon sujet de dissertation :je-nag
Pourriez vous m'aider en me donnant quelques pistes ? Je ne sais pas par ou commencer, et j'ai du mal a comprendre cette citation je dois dire... Normal je presume... J'ai néanmoins degagé un paradoxe entre croire -> non rationnel, et savoir -> rationnel...
Merci help:
Savoir que l’on croit c’est déjà ne plus croire » (Sartre amie, ne prend pas de S)
Je crois/je pense plutôt qu'ici JP.Sartre tente de faire un distingo entre la foi qui elle ne s'appuie sur rien, qui est une sorte d'appel particulier et personnel et la "croyance" qui elle se fonde, quoiqu'il en soit sur une matérialité expliquée. Telle dans les livres sacrés que des gens d'une manière générale et les prêtres ne font rien pour les en dissuader, perçoivent et entendent au 1er degré, alors que ce sont des livres ésotériques, où chaque mot à 3 degré de lectures.
- La croyance c'est doctrinal,
- La foi, c'est une certitude, une confiance, basée sur rien, une sorte d'appel des nues.
Sartre croyait à la liberté mais aussi au destin : la liberté, ce n'est jamais qu'une façon personnelle de se débrouiller avec le destin (disait-il) telle fut la loi de l'existentialisme, enfin la sienne. Car exister, c'est avant tout avoir un projet à "réaliser" une perspective en quelque sorte. «Je n'ai aucune solidarité temporelle avec moi-même», écrivait Sartre, il croyait en un futur autre, après la mort, tandis que le Castor l'a contré/tancé dans ce domaine.
Quand il met l'accent sur "savoir" c'est ce mot qui est intéressant dans cette phrase--- que l'on croit -- C'est avoir analysé, mis en place tout un système de réflexions. Je crains que dans cette phrase, l'ambiguïté volontaire ou involontaire de Sartre, tient dans le fait, qu'il confond croyance et foi.... Mais bon !!!!...smrigole. Voyez..
Tres bien, merci pour cette reponse.
Je continue dès lors ma reflexion :hot:
Merci =)