Forum: 8- Forum des poètes, le coin des artistes ...

une ile ,ocean de verdure et bleu azur teinté de milles fleurs et regard bleuté heritage d'autant de culture mascareigne d'intense beauté. tu reignes d'un suplice ephemere a l'histoire millénaire joyaux d'une courone diamenté au parfum sucré salé

je me trouvais a mille mille de toutes terre habités... j'avais a peine un bidon d'eau , quelques provisions et d'aucun secours pouvant venir de l'extérieur.. Ma situation devenait alarmante et il fallait coute que coute trouver l'origine de ma panne.... Depuis donc quelques temps je m'afférais...

kijou viens avec moi , de zenon et cleanthe le puit de lune....et porteur d'eau

Etrange que la pens***233;e noy***233;e ce fil d'ange au tr***233;sor amass***233; m***233;lange en nos belles id***233;es la grange du pass***233; oubli***233; Il est fou ce temps incertain que de tout laiss***233;s en chemin en nous le chaque et serein ce trou qui nous fait du bien

METAMORPHE Il est des soirs languissants de peu sourire et D'ombrages aux tristes feuillages Mais la nuit tend vers moi la douce main d'orph***233; M'emplit de son ombre et me laisse porter En clart***233; noire d'ennuie de fine soie effeuill***233;e Esseul***233; de silence de traine en m***233;lancolie Les...

je n'ais qu un bout de toile, que toile cette toison de regard; fil ainsi fait aussi maudi, que toile cette toison d'envie; l'accompli du tendre hasard, ainsi figé, aussi hagard; quintéssence des réves, illusions des sens;

Il est ton sacrifice et sa cr***233;ature Puisqu il est toute robes dont il s'est d***233;pouill***233; . Il est ton d***233;lice et son suplice puisqu'il est le ravage d'une vie de factice Il est ton orgeuil et sa fiert***233; puisqu'il est le propre et le proche de soi m***234;me Il est la semblance et son para***238;tre

Total silence que ce voile constern***233; De l'oraison fun***232;bre en r***226;le passionn***233; Elle trouve sur nous le s***251;r et profond Et cr***233;e le sillon en belle passion. Tout n'est ici que deuils vautours et d***233;combres Au fond des coeurs se creusent nos puits sombres La mort que l'on tisse du creux de sa main...

Lettre ***233;crite au bout de la terre Dans la trame de l'inconnue Un peu plus loing , un peu moins clair Au dessus d'un oc***233;an perdu Rechercher d'autre beau reve Avec du feu plein le coeur Trouver une autre lumi***233;re En toi mon ame soeur

Si j'***233;tais une grenouille , je pratiquerais un amour de reinette... et t'offrirais un n***233;nuphar en guise de maisonnette , Nous pourrions sauter , au gr***233; du courant tout au long de ces iles flottantes.. Bondissant... fr***233;missant tendrement au doux son du croassement . De fleurs en fleurs, en...

Qui a mesur***233; dans sa main l'eau de la mer Evalu***233;e sa grandeur et peint son bleu Petit oc***233;an au regard vert Colorie tes yeux Grand ouvert La vague..... Vague... Une vague, Une vague ***233;gar***233;e Au tr***233;sor d'insouciance

Ou es tu ? Que fais tu ? Dans ma vie ininterrompue . Que faire ! Que plaire ! Quand mon heure trompe la hardiesse Que m'en aille la divine sagesse Que me tait le besoin incongrues Dans l'esquisse d'une devine inconnue Comme ne laisse le libre ingénue

Les mamans sont aux soleil Le regard au firmament Nul autres sans pareils Que l'amour du sein éternel. Envie que le jour de mon crie Qui portait des larmes en son coeur Plaintes et larmes de douleurs En cet amour et don de vie.

pfffffffffffffffffffff !

Printemps la pense En fleur Des vents Au temps Que dure Son abondance Ete sans voix En croix Les choix Des voies

Moi.... Vous gardez bien là le vase clos D'opportun savoir en cet enclos Car de votre aplomb sans faille Je ne sais rien qui vous aille ! Vous niez bien fort mon idéal Pourquoi donc en faire un dédale ? N'auriez vous donc pas l'obligence

Ce matin là , dans mon école Il y eut un rêve d'enfant Que les virgules ne s'y collent En cet art contraignant Le Maître de classe nous disait Respecter ligne et pointillés Points de tâches et soignée En parfaite grâce la dictée

Ce matin là , dans mon école Il y eut un rêve d'enfant Que les virgules ne s'y collent En cet art contraignant Le Maître de classe nous disait Respecter ligne et pointillés Points de tâches et soignée En parfaite grâce la dictée

Un gobelet sur la table le lit en paresse , les draps en dédales , un coussin en débacle , le silence sans obstacle. Et sous la fenêtre , un jardin peut-être , de fleurs , au coeur , des douleurs.

Le rire est le propre de l'homme. Mais l'humour est un sacrifice à son préjudice Quand le rire efface la peine Que le coeur tisse sa haine Un replis au coin des lêvres Un rictus en guise d'anateme. Le linceul en facétie , la volupté L'humour ma concubine si mal soignée Diamantant le...