Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
Comme une boule de tonnerre au creux de l’estomac, j’aime l’amour, j’aime l’enfer mais eux ne me veulent pas. Que pourrais-je bien y faire moi qui n’ai que deux poings, bien serré quelle misère dans mon costume de lin. Fils rosé de cette terre mon étoile s’est éteinte, dès ma naissance amère au...
A L’ECART… Combien de fois on essaie de me lire Sur le fond d’une toile mouvante Les lignes de ma main sont hermétiques Comme les strates géologiques D’une ère indéterminée dans le temps Et tout se limite A une égratignure superficielle Je vous invite au grand voyage
La nuit je deviens menteuse dans les méandres de mon sommeil j'invente cet autre monde, je le fabrique en pâte à modeler, je crée de fleurs qui n'existent pas. La nuit je maquille ce qui est vrai, je force sur le blush et j'appui bien les traits de crayon noir. Le soleil devient lune et du...
A UNE NOUVELLE AMIE A : IDA. MERYEM Je salue en toi la puissance du geste La simplicité et la sincérité de tes mots La rosée vient habiter le reste de ma roseraie Des perles affluent, appellent le soleil matinal Pour irriguer le coeur froid de chaque rose Je salue en toi la fraîcheur de...
Seule, face à la mer, La victoire a un gout amer. Victoire de la mort sur la vie, Ainsi se libera mon esprit. Falaises abruptes, mers déchaînées Délivrez-moi de ma haine. La fleur s'est fanée, Emprisonnant toutes ces années Où vécu quelques moments mon coeur. Les barreaux de mon malheur,
L'amour de ses sottes id***233;es rendit le soi en nature admirable par les vertus d'un amour st***233;l***233; s'***233;vertue en oeuvre d***233;sirable parfait au coeur de perfection mouvant au mieux de l'abandon il est de source en soumission l'amour du sein et de passion
Maux de la terre à prix d'or Rongent mon corps Du poison qui encor dort Sans être en tort A jamais dévastateur M'apporte malheurs Où donc la petite fille pleure Passent les heures
cher à mon coeur De la pluie perle les gouttes qui saignent mon cœur, A jamais meurtri par cette haine du bonheur. L'averse rouge s'abat sur la croix qui meurt. La tempête fait rage dehors comme la peur. Calme orage de ma folie dévastatrice, Araignée du soir, leur toile tissent ; Reine...
Gris-Nez au matin… Au plus massif du granit Je sculpterai tes courbes marines Les goélands d’un coup de plume Garderont ton souvenir lustré Et le flot se ruant Très loin sur les falaises Le vent sifflera ta chanson
Les longs passants. Qui sont les longs passants qui parcourent la ville Au crépuscule, en parenthèses, dans l’éclat des néons ? Sans espoir de retour et de mots murmurés De longs impers chargés de pluie et de remords Ils ne demandent rien et n’osent s’emporter Ils n’ont plus de chagrin,...
le monde semble si plein, si remplit de tout. il semble, en effet, si grand que je crois qu'une seul vie ne suffirait pas à en faire totalement le tour. mais pourquoi fallait-il que ce monde soit si grand! le vertige?non , ça ne me fait pas peur, en fait, qu'ai-je vraiment à perdre au fond?...
Je suis la caresse qui lentement progresse sur tes espérances ineffables de tendresse…et le mot allait toucher l’infini avec toi… Mon cœur a voulu progresser au delà des nuées pour déposer une rose sur la pulpe de tes désirs ineffables de bonheur ; Fatigué, émerveillé, l’ange m’embrassa...
A droite ou à gauche : direction les sales cons Ils nous préparent tous une belle mort, va-t-on seulement se laisser faire? Après-coup qui aura eu tort? Notre parole sera sous terre. Face aux ego démesurés de pseudo-bouffons-dirigeants de cette immonde société,
Je pose des mots sur tes souffrances, Mes écrits abondent à ton coeur comme des ambulances dont la vue rassure ton esprit anxieux qui a vite fait de peindre en noir l'étendue des cieux l'espace d'une minute tu te sens moins seul(e) la vie cesse un instant de te souler, les perles occulaires...
je n'ais qu un bout de toile, que toile cette toison de regard; fil ainsi fait aussi maudi, que toile cette toison d'envie; l'accompli du tendre hasard, ainsi figé, aussi hagard; quintéssence des réves, illusions des sens;
Homoncule , vierge , menade nymphes et satires pour gardes chair a ton os et fleur de fer voit le signe de l'oeuil ouvert L'echo s'embusque le regard s'enfonce face a l'***233;p***233;e devant ce trou a travers les fers bless***233;s toi qui d***233;vores engendres tout
Crains le chant de la hulotte de ne point le voir arriv***233; ces mots sont des oboles et t'en sera chati***233; Hordes des hombres abolit ton nom ***233; outre raison gloire a l'arm***233;e des outrag***233;s aux linceuls des ames bless***233;s
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