Forum: 8- Forum des poètes, le coin des artistes ...

Sentier mental (26/02/2004) Là où je suis, la vie me gène, Et le plus triste : elle est sans toi. Assis je contemple les plaines, Malheureusement tu n'es pas la. Ma vue se perd dans les nuages, Vite remplacés par les étoiles. Les cieux m'annonce un doux présage :

Héritage Violé (chant) Triste terre rongée Héritage d'un lointain passé Aujourd'hui dévastée Jadis tu étais respectée... Terre je vie pour te soigner Toi qui nous as tant donné Terre je viens te purifier

A droite ou à gauche : direction les sales cons Ils nous préparent tous une belle mort, va-t-on seulement se laisser faire? Après-coup qui aura eu tort? Notre parole sera sous terre. Face aux ego démesurés de pseudo-bouffons-dirigeants de cette immonde société,

Complainte du Noctambule Du mal de l'aurore, A la renaissance du crépuscule, Les ténèbres luisent comme or, Et du sang de mes rêves se maculent. Dans la lueur blafarde Des nuits de lutte, J'erre hors de la harde

La nuit s'étend sur le trottoir humide, Du café s'évaporent des lueurs verts. La nuit attend ses femmes livides, Elles viennent ouvrir leurs corps aux coeurs inertes. Déjà on entend leurs pars qui résonnent, Et les bourgeois du soir qui déraisonnent

"Pour moi l'homme a érigé, Eglises, Synagogues, Mosquées ; il m'a composé prières et égloques Mais vers des eaux amères je l'ai mené. En un jour de pogromes et de génuflexions Il a porté son âme à la crucifixion ; Et de son sang pieux le calice à débordé Alors au huitième jour avec Voltaire...

"Quand dans mon rêve tu dardes tes yeux sans pitié, -tes grands yeux malicieux- Mon âme de poète s'affranchie de toute piété Et, serpent sinueux, Va noyer de liqueur sur tes lèvres de satin Un baiser clandestin" ( erf ! )

Arborant sa fierté, préférant l'emphase A Cupidon, Cybèle ; le poète s'évertue A boire l'innaccessible, cultive des fleurs amères Dans un jardin factice. Mais toi, enfant-bohémien Sous ta houlette mystique Tu fais de tes rêveries une révolution : Superbe explosion onirique

La lyre : Orphée, souviens-toi comme tu célébrais jadis A travers toute la Thrace la belle Eurydice : Ta passion et ta joie innondaient les chagrins, Le cyprès et la rose parfumaient nos refrains. A présent la douleur se darde sur mes cordes As-tu enterré à jamais nos joyeuses...

En venant sur le forum je croyais pouvoir échanger des points de vues et des conceptions sur la poésie mais je me suis trompé. Je crois que c'est juste par prétention et pour attendre des compliments que chacun publie ses poèmes et non pas pour se perfectionner et partager l'amour et la passion de...

"Ôde à la lune" ( rien que le titre ...erf) Bientôt tu seras en croissant Je me laisserai prendre au jeu Mes yeux flottants dans ton néant Mon corps étendu dans tes creux Bientôt tu seras cramoisie Toi princesse de toutes mes nuits Tu m'es puissante, tu m'es lointaine,

Comme un sous marin à la dérive, Je divague et je me prive, Je supplis et je suffoque, Je me moque et je pris, Mes semblables les astres, Pour qu'il me sortent de se désastre, En me tendant de manière fraternelle Leurs douces mains charnels, Mais capitaine je ne peux plus rêver,

TERRE D’ESPERANCE Afrique, terre d’espérance, Quand sortiras-tu enfin du silence ? Quand pour ton développement seras-tu en partance ? Afrique, si seulement tu peux aller de l’avant Sans chercher à voir combien, de la noirceur, tu es distante, Afrique, si tu peux réunir tous tes enfants

LE SANG DE TES AIEUX RECLAME VENGEANCE Par centaines de milliers, Ils ont été déportés. Par centaines de milliers, Ils ont été assassinés. Et aujourd’hui, ces mêmes assassins Reviennent en maîtres et sauveurs Vers nous comme s’ils avaient à eux seul notre pain.

UN HEUREUX RATE Juste au moment où le ciel me souriait Et que d’être bientôt un homme heureux je me plaisais Car de joie mon cœur battait Et Dieu déjà je m’imaginais, Un soleil noir point, Exterminant tout mon enthousiasme, Eteignant en moi la flamme

MAITRES DE NOTRE DESTIN Quand les hommes comprendront qu’ils ne doivent pas souffrir d’avoir échoué ? Quand prendront-ils à deux mains leur courage pour affronter la vie qui ne tient qu’à les décourager ? Quand s’engageront-ils définitivement sans penser qu’ils ont à plusieurs...

Rû secret Oiseau Idée L'eau coule Trois plumes Dans le cas Sonore Légères D'Archimède La foule ...

Tes yeux Comme Portes de mon ciel Ta bouche Comme une cascade de tendresse Tes mains Comme une réserve de caresses Tes jambes

Le temps d'un regard Toi ma fragile Tu me guéris De la longue attente Quand absente Je reconstruis ton visage Je m' acharne à te garder Près de moi Pressons le pas Mon Amour

Louve surgie de la Pénombre Dans la gerçure du soir Tu figes mes pensées Entrevue Ta silhouette Pérennise les raisons De t'aimer.