Forum: 8- Forum des poètes, le coin des artistes ...

J'aurai aimé que tu saches qui je suis devenue, j'aurai aimé te dire mes secrets de jeune fille, mes premiers flirts, et mes premiers chagrins d'amour...partager avec toi des moments intimes de confidence...que tu me serres dans tes bras,me console quand la vie me rend sombre et que tu me dises...

Je voudrais te dire tout ce que la vie ne me laisse pas te dire les blessures et les souffrances loin de toi, loin de mon pays les choses se défont chaque nuit un peu plus et s’effacent les fils qui me ramènent à toi. Si fragiles ces bouts d’existence qui s’enchevêtrent s’enmêlent et Nouées...

LE SANG DE TES AIEUX RECLAME VENGEANCE Par centaines de milliers, Ils ont été déportés. Par centaines de milliers, Ils ont été assassinés. Et aujourd’hui, ces mêmes assassins Reviennent en maîtres et sauveurs Vers nous comme s’ils avaient à eux seul notre pain.

ATTENDS, JE VIENS… ! …Patience amie de l’autre frontière Je dois m’éloigner des écueils Refaire un autre cheminement Relire mon tableau de bord Pour déloger les anciennes aiguilles Et retrouver une certaine boussole Oubliée dans son coffret… !

Retour du poète Le long voyage de l’ennui Qu’entreprend le poète Parcourt l’océan d’un défi D’une vie souvent désuète ¤ À la proue ardente du désir Qui lèche l’horizon du poète

Ma solitude Ma délicate solitude je t’encourage Reste prés de moi, amante dévouée Je veux te conter, écoute ma rage ! ¤ Entends dans cette nuit du désarroi La tristesse de ce corps fataliste

Je viens te chercher oh! toi soleil Eclatant et figé dans tes pouvoirs célestes Tu reste l’essence de mes pouvoirs qui veillent Donateur et chimiste aux idées renversantes Tu me donnes la vie dans ton histoire sans fin qui me donnes l' envie De me reprendre en main :y-pl

Cœur du vent Quand je puise mon inspiration au cœur du vent, Bien des choses inhabituelles, je ressens ; Alors, je me laisse porter par les sensations, Jusqu’à en oublier mon corps et mes passions. Je brise toutes les chaînes de ma raison, Pour que l’âme s’envole au-delà de l’horizon ;

La Vie est avant La Mort est après. Sois sans soucis Sois mon amie. Toi, si pleine de Vie Toi, si pleine d envies Toi, si pleine de soucis. Ne craints rien, Ne craints rien. Repose en paix mon amie

Lente glissade dans un verre de rhum Déjà ombre, je ne suis plus homme. Mon cerveau s'embrume et s'enlise Dans un lit de nébuleuses grises. Les étoiles me quittent, elles s'en vont Elles glissent, dérapent sur l'horizon. La rose est morte à peine éclose A l'aube d'une histoire morose. Viens...

Le temps vient de s'arrêter Sur une pendule trop usée. Mon regard désabusé, Quittant cette entêtée, Se promène sur la rosée Incertain et enfièvré, Cherchant un nouvel été A tout jamais égaré.

... ET TOUT CONTINUE A Cécile VERHAEVER Tu sais, j'ai une myriade de muses Elles sont présentes dans mon esprit Lorsqu'une d'elle s'égare de ma nuit Une autre est en état de veille Et de l'ensemencement des années Je ne cueille que quelques fleurs sauvages Le reste...

Pas Sym***233;trie que ***231;a Je m'avance, je m'***233;tire, Je me tourne, je me mire. Tout semble autre sans qu'un reflet - Ne transforme ce qui est Confusion de passage, Une profusion d'images. Pi***233;g***233; de son opaque translucidit***233;

Quand mes yeux se couchent sur ton étoile là haut Mon rêve est beau et mon cœur consolé aussitôt Te chante mille et mille « je t’aime Maman ‘ ». ¤¤¤

http://www.mespoemes.net/photos/theo_529745905_doute.jpg Sans doute Sur l'océan d'espoir aux vagues qui se creusent, Entre désert d'amour et îles bienheureuses, Sillonnant vastitudes d'amères solitudes Avides d'autres lieux et repues d'habitude,

O ma belle adorée O ma belle adorée ! Montre toi, splendeur Accueille mes douces saveurs Flammes de mon immense bonté Lumière de mon temps insensé Enveloppe moi de tes pétales Unis au profond repaire sentimental

Mère Mère, tu as fermé la porte du dernier jour Et moi je tourne la page de ta révérence Je rêve à la lumière du sagace abat jour Dans l’ombre de ton souvenir ancré à mon enfance Quand tu m’enveloppais de mille câlins d’amour ¤ J’ai parcouru ton monde par mon absence

Sous l'azur lourd et ardent Séchaient une à une les larmes de sa peau Qui perlaient puis coulaient le long de son dos Avant de s'échouer sur le sable d'argent Epuisée, elle cheminait tranquillement Happait patiemment le rare souffle du vent Laissant derrière elle des empreintes indélébiles...

Serpent de ma vie tu envenimes mon cœur D’un désir de folie quand tu animes mes sens Tu te loves à mon corps en puissance Du sceau de ta beauté tu ranimes ma ferveur Soif de toi, hydre d’amour ! ¤ Ton venin est trop doux pour mon festin Je t’aspire du plus profond de mon âme Qu’il...