Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
....A lire sur Nicolas de Rosanbo Les arbres sont en lambeaux ces jours-ci Moi à fleur de peau, Si près des larmes. Entre les êtres, la haine menace ; Pourtant ils se disent leurs souffrances Comme des lettres d’amour.
le monde semble si plein, si remplit de tout. il semble, en effet, si grand que je crois qu'une seul vie ne suffirait pas à en faire totalement le tour. mais pourquoi fallait-il que ce monde soit si grand! le vertige?non , ça ne me fait pas peur, en fait, qu'ai-je vraiment à perdre au fond?...
Pitoyable fillette Conditionnée par une société d’hypocrites. Pitoyable fillette Manipulée par des images numériques. Le vrai…le faux…à quelles lois devons-nous nous soumettre ? Misérable gamine Tu cherches des excuses, non bien sur : c’est la faute des autres.
Ce beau bout de viande délicat parcours mes avides prunelles pour le bien de ma pelle Et s'ouvre sur moi abîme et l'embarras Caresse mes passions, les frétillements loin de mes mains, m'angoisse les fructeuses vibrations de ses arguments Emmène mon crâne dans la pensées poisse
Quand je pense à toi Quand je pense à toi Mon visage mouillé par mes larmes S'illumine d'un grand sourire Je te revois devant moi M'emmenant tout ton charme Et tes joyeux eclats de rire Avec ton esprit, je grandis
un vent de bretagne a soufflé les crêtes et les remous de vagues chevelures partout la pierre partout le silence les fausses fleurs se fanent dans tes yeux silencieux j'ai lu plus que sur toutes les tombes merci loac d'être venu merci cédric de m'avoir tenu la main
venue du coeur de l'irrelle perdue au fond du frêle, belle comme une pierre comme une vie comme la terre comme l'ésprit
REVEIL ALLEGORIQUE Mardi sept heures quarante huit Je vais encore être en retard Hier j’aurais pas dut prendre une cuite Maintenant je marche au radar. J’aimerais pouvoir rester Dans ces draps si agréables ; Au fait pourquoi aller étudier ? Aller mettre les pieds sous la table
Coeur de tendresse Tel l’esclave à sa déesse Soupçon de folie Mêlée d’une ardente envie Vagues de douceur Sans jamais ressentir la moindre peur Actes de générosité Pour accompagner ta beauté Semblant de charme Qui souvent me désarme
A un seul appartiendra, qu’à un seul cœur bon. Se mêlera à la vie pour un destin exceptionnel et magnifique Loin des obscures fréquentations tout sauf pacifiques A un seul appartiendra et jusqu’au dernier souffle nous aimerons. Plus le temps s’écoule, comme un sablier silencieux Plus je...
Les papillons de tes yeux. Ils volent, ils butinent et leur fragilité Est leurs écailles qui se disséminèrent doucement Ils dansent un ballet qui ne dure qu’un été, Et se posent sur le coeur d’un doux dément. Ils crient et seuls ceux qui rêvèrent qu’ils étaient eux, Entendent leurs pleurs...
A cet homme indifférent celui dont l'âme fout le camp comme le cerceau d'un enfant et dont les nausées ambulantes donneraient froid au ventre de l'attente Je dédie ces mots infâmes à vous qui avez peur des flammes et de leur dose de larmes
Voici un de mes poèmes... En ces lieux rouges et noirs J’écris un Poème sans espoir La mort va prendre un être qui m’est cher Me rejoignant dans ce gouffre de l’enfer Toi, dans ton lit froid et malsain Peu à peu ton regard se fera vide et lointain S’estompera alors ta croyance en ce dieu
Stable Comme une table Je t’ai écrit une fable Et je cessais d’être instable Comme un morceau de pierre friable Ou une jolie voyageuse toujours indiscernable Ou encore certainement qui cherche tout sauf un minable Et qui attend un peu mieux que de toujours se payer le rable Qui aime bien...
Dans ce lieu solitaire, Où l'on vient pour chier. La bouche doit se taire, Seul le cul doit parler Les cuisses en équerre, Tu te mets à péter. L'anus entre ouvert Te voilà liberé. Si c'est pas un super poème ça baudelaire n'aurait pas fait mieux fiesta3:
Ah..:nono Mon coeur est brisé aujourd'hui , voilà pourquoi je vous envoie un poème un peu triste... (membre du cercle de poètes virtuel...) Mon cœur balance Entre plusieurs amours Mon cœur se balance Dans je ne sais quelle bravoure Mon cœur te balance Et jamais je ne renonce à t'aimer
J’ai la machoire qui tremble Ne plus y penser, ne plus y penser. Je suis pourtant mieux il me semble, Il faut y penser, il faut y penser. Je suis fatiguée de mots, mon coeur ment. Ne plus y penser, ne plus y penser. Le chêne perd ses feuilles et l’hiver arrive, Ne plus y penser, ne plus y...
Maintenant qu’il faut revivre Les brassières crèvent Et la surface se détend Ainsi le mouvement ne vient pas, Ni même l’instinct libérateur Ou la bouffée d’air Tant attendue ces jours-ci. La courbe de l’horizon se tortille sur
http://theatreartproject.com/arbre.pngRecherche syntaxique, économie lexicale, travail phonétique. On trouvera ces trois sonnets sur le site http://poemes.iceteapeche.com/lecturepdf.php?poeme=38404 Les personnes intéressées par le sujet de la recherche poétique à travers les contraintes formelles...
J'avais écrit ça plus pour me marrer qu'autre chose, mais au moins ça va nous sortir un ptit moment des mélos-méandres sentimentalo-nietchiens... A lire avec beaucoup de légereté... Oups ! Pas trop légerement quand même !.. lol
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