Forum: 8- Forum des poètes, le coin des artistes ...

venue du coeur de l'irrelle perdue au fond du frêle, belle comme une pierre comme une vie comme la terre comme l'ésprit

les bruits s'épuisent comme la chaleur déserte les couleurs s'enfuient en implorant la vie les ombres dansent sur leur tombes les yeux fermés se fixent sur le fantasme des désirs les rêves hantent les âmes et les cauchemars éclatent au grand jour

Un pied devant l'autre et tu avanceras En avant ou en arrière à toi de voir Tout dépendra de ce que tu choisiras Que serait donc pour toi l'avant de ton pied ? Les orteils ? C'est ton choix Tout petits, très mobiles, Ils te permettront donc d'aller de l'avant Et le talon ? Pourquoi pas

Tremble et rêve d'une autre vie D'un autre abri Quand je sors, je suis mal à l'aise Petit cocon protecteur qui me soulage. Multiples essais sans conclusion positive A croire que tout ça est à jeter A croire que tout ça n'a rien donner A croire qu'espoir n'est qu'un mot Banni d'un...

Petite tête blonde au sourire d'ange Aux yeux en miel Aux mains qui tremblent J'ai parfois peur de tout dire Et tu t'en vas, n'existe plus S'en va et me laisse S'en va et caresse La main d'un autre...

Doux et calme Tout tremblant La nuit est rouge Un coma d'étoiles Des diamants dans les yeux La bouche cousue de mensonges Rien ne bouge Tu souris

Le roi pleure Son malheur: Les ruines de son château Des pensées de brume S'échappe d'un esprit trop souvent malmené L'envole de l'oiseau La chute du héros Assis sur les décombres de sa vie

Frustration Je suis celui qui plante les arbres de haine dans les cours des palais blancs. Celui qui taille en biseau les cimes de vie des grands sapins centenaires. Qui poursuit la nuit, les rêves envolés et les songes perdus. Les paumes de mes mains ont vieillies trop vite. Elles saignent...

Ils sont tous là, les yeux comme des couteaux, Aiguisés jusqu'à l'éclair, la tête trop remplie. Ils sont tous là, les pieds dans la même histoire A l'intérieur de l'histoire. Si proche du changement. Leur haine est-elle saine ? C'est bien compréhensible. Ils crient, ces sons de liberté qui...

Je reste juge Admire un vrai massacre Le sang coule dans la rue comme l'eau sur la montagne J'ai les larmes qui viennent perler au bout des cils On meurt si facilement J'ouvre la bouche comme pour goûter à l'impensable Fermez vos yeux, serrez vos points, l'heure de disparaître est arrivée....

Encore maintenant, oui, toujours aujourd’hui Le changement est absent, et la vie suit son cours Chacun, à sa façon, se crée des épopées Nous sommes toujours loin d’Ulysse. Nous raisonnons, anticipons, tâchons de tout savoir Sans hasard, où va-t-on ? D’où vient cette magie Qui fait peur et...

Le concours "l'Arbre" dans le cadre de l'évènement "la Nature dans tous ses arts" organise actuellement un concours artistique avec pour thème la nature en général. Le concours est ouvert à tout artiste désirant exprimer sa passion, laisser libre cours à sa vision d'auteur et présenter ses travaux....

Le principal n'est pas d'aimer la philosophie, c'est a dire d'aimer l'amour de la sagesse, mais tout simplement d'etre philosophe, c'est a dire d'aimer la sagesse.

L'activité d'écriture serait a l'image de celle du monde. Par la lenteur et la complexité qu'elle suppose, et les recherches et pistes multiples qu'elle met en oeuvre, elle seule est susceptible de rendre compte de l'enchevetrement du monde, en le tenant a distance. Mais les abus d'écrits...

Regard sur Morts venantes… La création ! l’idée de pont que nous sommes Assure chez l’autre l’assurance de l’impossibilité souveraine Car jamais nous ne pouvons nous engagez dans notre fin sans haine Du suivant ! frotons nous les mains et détruisons lui sa Terre… sâle surhomme Venant...

Parade de vent d’automne remue les orange feuilles Sur le port de Quimperley, approche de noirs nuages Posé sur la digue de gris carreau, tassée par les pas et les âges Veste noir contemple l’éclair menaçant, détruisant par un délire cercueille Le calme tonitruant de l’active eau verte...

Tas d’os Groupé par de fins film se superposant Contenant pulpe et sang Des lèvres polissonnes de son rose séché Insuffle à l’odieuse roidissement l’inclinaison des ridé affairés Oh ! fille de découverte tu fis lors des bagarres Enjoué De tes petits pied battant la seche terre et la rosée...

L’ouragan frétillant meurtri son énorme tube Glisser la Terre, et pleuvoir les maisons larmoyantes Verdâtre fondue qui d’un soleil cramoisi dévalant Le grabataire flanc d’une poussière enjaunée La gelée des murs creuse le bleu spirituel des gueuses De la paresse entre ses mains les pièces...

Une masse ouverte tel est l’enfant Il arrive, il est, le monde se ferme de plus en plus Et le ciel ouvre sa noirceur au fond de ses artères Transforme cette masse sensible à la plagieuse Attitude, rejet des découvertes éventuelles L’eau coule sur cette peau alerte Et le savon purge, et...

MEPRIS Lorsque les flammes du mépris s’emparent de moi Un grésillement sourd dans mon crâne se fait prier Je lui répond, va t’en Satan ! en société Acclamé, tu te verras… Maintenant, boit ! L’amertume de ne plus jamais me rencontrer, Je me méprend, tu t’agrippes aux entrailles De mon...