Forum: 8- Forum des poètes, le coin des artistes ...

Aux brumes de la nuit des enfers j’ai perçu La femme centaure de blessures, traversée Que l’animal vénéré dans un geste insensé A tenaillé de douleurs ; D’un raffut effronté ¤ Dans un sage mouvement magique j’ai vu La femme centaure d’orgueil au teint comblé Dans une chevauchée...

Voyage dans le temps Blessures du passé Pourquoi retourner ? Est-ce difficile de quitter ? Voyage dans le temps me rend Je me vois comme enfant Seule mais forte la devant Le temps est capable de tout changer Et les années sont passées Et toute ma vie s’est transformée

Bonjour à tous!! smrigole J'ai un soucis, je dois créer un accrostiche avec le mot "kyrielle" et donc en utilisant sa définition dans la poésie mais je n'y arrive pas. Donc si vous pouviez m'aider....merci à l'avance :) Bizz

Voici l'histoire d'un couple de Français qui vient tout juste d'aménager au Québec: Le 1er AOÛT : Nous venons d'emménager dans notre nouvelle maison au Québec. C'est très beau ici. Tout est si immense et sauvage, et les montagnes sont si majestueuses. J'ai très hâte de les voir recouvertes...

Celui qui, de ses mains, Bâtit ce lieu d'aisance, Fit plus pour le genre humain, Que De Gaulle pour la France. Inconnu (soldat ?)

les bruits s'épuisent comme la chaleur déserte les couleurs s'enfuient en implorant la vie les ombres dansent sur leur tombes les yeux fermés se fixent sur le fantasme des désirs les rêves hantent les âmes et les cauchemars éclatent au grand jour

Héritage Violé (chant) Triste terre rongée Héritage d'un lointain passé Aujourd'hui dévastée Jadis tu étais respectée... Terre je vie pour te soigner Toi qui nous as tant donné Terre je viens te purifier

J'entend chaque soir en rêve Ta belle voix argentine, Et je me laisse habiter Par la mélodie divine, Qui me remplit de gaieté, Et qui m'enivre sans trève. Notre nuit s'achève, Depuis peu de temps, Je suis ton Adam,

J’ai cueilli ton cœur, Dans un jardin de fleurs, Tu étais la plus belle, Tu étais exceptionnelle. Tes uniques couleurs, Tes traits pleins d’ardeur, Cette vision inhabituelle, A renversé mon ciel.

Le garçon se ronge les mains, il mange la peau morte qui s’accumule sur sa stature bronzé par le soleil. Le grain de sa peau se fragmente sous l’arrète asséré de ses dents. Les flots incessants de mon âme exténuée, fracassent les ossements de l’hymen sacré, la peau morte de ma peau gargouille en...

Artiste-chercheur-performeur, en 2001, j'ai fait une découverte. J'ai découvert que PICASSO avait élaboré la majorité de ses oeuvres, à partir de deux "MODELES": -MODELE 1: "Madame Cézanne dans un fauteuil rouge", du Museum of Fine Arts de Boston, peinte par Cézanne. -MODELE 2: Cette même...

Dans l’aride revit le glapis Rallume les fades cierges perdus A genoux, sur le parvis il compte les plis De ses mains irraisonnablement tenues Allume les catacombes D’un feu déchaîné, et les cernes et les dépies Il pleut toujours sur l’orge moribonde Pour qu’avec droit le linceul de...

La Tasse de Thé Sur l'adagio du concerto pour fortepiano kv41 de Mozart Un jeune philosophe, ayant perdu le sentier, pleurait en grosses larmes la vanité du monde. Ses sombres méditations l’avaient enfin éclairé, mais d’une lumière fade et qui lui soufflait, d’un ton sans émotion, le vide...

:Boff Bonjour, Je souhaiterai savoir dans quel musée est exposé "Galatee et Pygmalion" de Jean Leon Gerome. Je pensais qu'il s'agissait uniquement d'une peinture, or sur un site de poésie, j'ai vu l'"autre face de la scène". Savez vous s'il existe aussi une sculpture et où la voir? Merci

L’homme Un homme à confesser… ça te dit bien les choses Des péchés enfantés des plaisirs ingénus En des lieux musiqués ses augures de rose Des vertus à crier du bonheur secouru Un homme ça se voit… dans ses phrases, assisté Ca s’entend plein poumon dans ses lignes de fuite

Aux armes ! (Le mot "arme" signifie ici, le mensonge, les non-dits la fausse image de soi et que l'on veut montrer et qui n'est pas la notre) Je ne suis qu'un maçon, Bâtisseur de rien Comme on céle des phrases Et le dessin d’un œil devenue chair Qui te regarde là

Tes yeux Comme Portes de mon ciel Ta bouche Comme une cascade de tendresse Tes mains Comme une réserve de caresses Tes jambes

Le temps d'un regard Toi ma fragile Tu me guéris De la longue attente Quand absente Je reconstruis ton visage Je m' acharne à te garder Près de moi Pressons le pas Mon Amour

Je boi en dépit du bon mot Plus qu'il n'en serait des maux. Je leve la coupe , en invite la lune Que sié malin se belle amertume Je boit au plaisir de sa fortune Son regard comble mon infortune. L'infortune ennivrante de mon ombre S'invite à ce banquet solitaire