Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
....A lire sur Nicolas de Rosanbo Les arbres sont en lambeaux ces jours-ci Moi à fleur de peau, Si près des larmes. Entre les êtres, la haine menace ; Pourtant ils se disent leurs souffrances Comme des lettres d’amour.
je n'ais qu un bout de toile, que toile cette toison de regard; fil ainsi fait aussi maudi, que toile cette toison d'envie; l'accompli du tendre hasard, ainsi figé, aussi hagard; quintéssence des réves, illusions des sens;
Comme une zombie, je déambule Où suis-je? Je suis ridicule Les yeux grands ouverts Pourtant je me perds Mes idées ne sont pas claires Est-ce toi alcool d'hier? Machinalement, j'emprunte des chemins Mais seule, je me sens si loin
Si j'***233;tais une grenouille , je pratiquerais un amour de reinette... et t'offrirais un n***233;nuphar en guise de maisonnette , Nous pourrions sauter , au gr***233; du courant tout au long de ces iles flottantes.. Bondissant... fr***233;missant tendrement au doux son du croassement . De fleurs en fleurs, en...
Je suis à la recherche d'un poème d'Aimé Cesaire sur Martin Luther King, qlequ'un peut me donner des renseignements?
Rû secret Oiseau Idée L'eau coule Trois plumes Dans le cas Sonore Légères D'Archimède La foule ...
Ce soir j'entends la pluie tombant sur ma fenêtre. Je vois les éléments qui dehors se déchainent, le vent souffle violemment, de toute sa haine, je ressens l'orage grondant à quelques mètres. La nature, aussi furieuse puisse-t-elle être, ton visage m'apparaît, et je n'ai plus de peine. Mon...
Le Passant J'ai les pieds d’un fauteuil dans deux croissants de lune Et des rêves à bascule en voyage immobile Des chemins de rousseur, des forêts, des musiques Et les pas d’un oiseau dans un livre d’étoiles J’ai le temps des lumières au pluriel de l’âme
j'ai peur de tourner le dos et de voir derriere car elle me suit et me hante mon fameux hier sur mon chemin,j'ai reussi à surmonter mes peines des nuits qui m'ont fait tomber dans la haine il est reste ce que j'ai vecu pendant mon adolescence ces moments restent et demeurent oh l'innocence...
Qui es tu, toi la vie ¤ Qui es tu toi belle vie, d’où viens tu ? Je me promène adossé à ta présence Tu me tires le long des jours advenus Pourrai-je cesser de te suivre en tous sens ¤ J’aurai voulu être absente de ta volonté De me déposer là, fille du rien absolu
Cité des Colonnes. Le pinceau des phares jaunes sur le Malecõn caresse le bitume de sa lueur coquine. Baisers de sucre à l’hôtel Sévilla, à l’heure des cocktails. Frivolités, bonnes fortunes… Au coin du Paseo et de la 19ème rue
LE CIEL DE PARIS – (1) Le ciel de Paris Peut-être est-il gris Le ciel de Paris Aussitôt on l’oublie Le ciel de Paris Dans tes mains salies
¤ Suivez ce pas que vous poursuivez Chantez maintenant avant de déchanter Tourna ce dos qui se retourna Joua ce visage qui vous déjoua ¤ Déception de cette mauvaise réception Impulsion vers une rêche répulsion Cris d’horreur pitoyable que je décris Unis à ma détresse elle se désunit
La mer en bouteille Regarde-moi vivant regarde-moi longtemps Regarde-moi craquant, et cette mer abjecte On dirait un bateau sans voile, qui se bat Regarde-moi là-bas, les os déjà rongés De souvenirs à vendre Regarde-moi vieilli... Et de peur ...Et d’ennui
http://http://www.zyna.biz/img2feuilles.gif Visage, beau visage... A la fois chair et sève... J'ouvre les yeux sur toi - non que ma nuit s'achève, Mais le soleil paraît, qui sur tes traits se lève En m'éclairant le vrai de cette part de rêve. Louis Latourre http://theatreartproject.com
Liqueure, ô passion mon heure Que nous passions mon coeur Ces soirs si doux, en pleurs. Le ciel pesait sur nos têtes Plus d'un milier de ces fêtes Que tu aimais tant, mon coeur. Toi à mes lèvres Et montante la fièvre Je te bois, Liqueure.
"Nord-Est" est le premier tome de la série "Des Gens qui Marchent" Sous la chaleur du Nord-Est brésilien, Louise et José vivent un quotidien parfois calme comme le balancement d'un hamac, souvent chaotique comme à l'arrière du bus circulaire qui les emmène tous les jours au centre de Canto. Dans...
O ma belle adorée O ma belle adorée ! Montre toi, splendeur Accueille mes douces saveurs Flammes de mon immense bonté Lumière de mon temps insensé Enveloppe moi de tes pétales Unis au profond repaire sentimental
Mère Mère, tu as fermé la porte du dernier jour Et moi je tourne la page de ta révérence Je rêve à la lumière du sagace abat jour Dans l’ombre de ton souvenir ancré à mon enfance Quand tu m’enveloppais de mille câlins d’amour ¤ J’ai parcouru ton monde par mon absence
J'ecris, pourquoi? je ne sait pas. pourquoi avoir un pourquoi d'ailleur? je ne sais meme pas pourquoi, alors... mais bon ce que je sais c'est que j'ecris. A qui j'ecris je ne le sais pas encore peux etre à personne.. qui sait? personne peut etre. Ca veut rien dire tout ca mais bon, rien ne...
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