Forum: 8- Forum des poètes, le coin des artistes ...

ECCE HOMO A Serge G, canular Et ouais c'est moi Rimbard Élève d'Izambard Soi-disant communard Combinard au Harar Admirant, du bagnard

Je recherche toute personne qui peut m'aider à obtenir ce film. (Perle du cinéma allemand traduit en français, drame hautement poétique décrivant les affres d'un jeune musicien des montagnes autrichiennes). Ce film n'est plus disponible à la vente ni distribué en France. Vous l'avez...

Au dodo Elle lui dit : Tu me le mets_trop Il se retire en se disant : Aller au boulot... La routine quoi ! : « ...........Mets trop boulot dodo.... » Optimo

Coucou à tous, j'ai écris ce poème pour qq1 qui m'est très cher et je voudrais votre avis Merci d'avance Marie A toi mon Héros La petite fille écoute, pour la enième fois, l'histoire de la guère, celle de son grand-père.

Les bâtisseurs. Briques… Briques sanguines façonné par mes pères, Briques enflammées pétries par la lumière. Ruban d’existence qui chatoie De la racine jusqu’au fruit, Où un jongleur, taquin, badine,

On ne distingue plus ni le ciel ni la terre, Le vent fouette les pêcheurs Et les mouettes crient en coeur Les couleurs se mêlent comme une aquarelle Et le rouge semble couler dans l'eau bleutée.:je-nag:je-nag

La honte ça vous met le coeur tout au fond plaqué il ne peut plus ni bouger ni respirer. La honte ça vous lancine dans les oreilles une chanson aigre dans les veines, à petites doses, ça vous injecte du vinaigre. Ca vous fait le sang rance à force de porter les fautes commises celles des...

Je voulais partager avec vous ce poème de Sam Byhel. Je le trouve d'une grande sensibilité. Ce jeune poète est l'auteur de Pont de Poème, mais savez-vous s'il à écris autre chose ? LA VIE SEULE Si ton visage est pâle, Qu’elle est triste ton âme, Laisse couler tes larmes ; C’est ton cœur...

smrigole Me voici de retour, sans édifice et sans artifice.. plus le temps de venir et rugir de plaisir plus d'espace,pour entretenir et ecrire la rentrée, cette évidence qui nous appellechaque année la rentrée, ses bouchons le long des trottoirs sans espoir feux rouge, orange...

Nuit nue Nuit rousse, nuit blonde ou brune Nuit des mille saveurs et de vierges ailées Aux quartiers sous la lune étoilés dans un rêve Nuit rauque sans sa voix Nuit d'un cri relatif au silence des roses Son bleu démaquillé des alarmes de jour

Fête foraine. Sous les arcades, quelques vieillards poudreux tendent l’oreille à la rumeur citadine. J’écoute des airs de bastringue, chansons épaisses, poisseuses et lourdes, la Gueuze Lambic inonde les fontaines, Mort-Subite des pigeons… Fauchés dans la fleur métallique de leurs plumages...

MEPRIS Lorsque les flammes du mépris s’emparent de moi Un grésillement sourd dans mon crâne se fait prier Je lui répond, va t’en Satan ! en société Acclamé, tu te verras… Maintenant, boit ! L’amertume de ne plus jamais me rencontrer, Je me méprend, tu t’agrippes aux entrailles De mon...

La Tasse de Thé Sur l'adagio du concerto pour fortepiano kv41 de Mozart Un jeune philosophe, ayant perdu le sentier, pleurait en grosses larmes la vanité du monde. Ses sombres méditations l’avaient enfin éclairé, mais d’une lumière fade et qui lui soufflait, d’un ton sans émotion, le vide...

Peu importe L’imperfection Peu importe La déception Je ne suis unie qu’à la vie Les autres entrent et sortent de la scène de ma vie Peu importe si les textes sont mal dits Les regards inhabités Les voies étouffées Déçue

La navette N’est pas la petite du navet La bisouquette N’est pas la petite du bisou L’assiette N’est pas la petite de l’As .............

:Ac) :tit-ange :Ac) Juste quelques mots d’Amour et des caresses Pour Celui qui a fait changé ma Vie Et pourtant aucun Espoir ne coulait le long de ma Tristesse Que la souffrance depuis toujours avait remplit Tu es entré dans ma Vie Tel un Arc-en-ciel se faufile entre les nuages gris...

Mes larmes ont coulées Et jamais je ne te les ai montrées. Avais-je trop de fierté pour cela? Nan, je ne pense pas. J'étais amoureux, voila tout.

J’ai peu contemplé le petit écran Car il m’a de tous temps empêché de penser Mais après déjeuner j’ai ressorti mon cran Pour m’absorber dans sa foire insensée Des hyènes moqueuses s’y prétendaient neutres Pointant les nouvelles d’un tendre humour Que je vis engoncé dans un habit de feutre...

…

La ville se fuit elle-même, Et mon cœur a cru aimer Pour mieux m’endormir, Et me sentir délaissée ; La foule cache ses fantômes ; Toujours les mêmes âmes, Qui se reconnaissent entre elles Et s’oublient ensemble. Et je n’ai pas pu renoncer à aimer.