Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
Pierre mariée au ciel, hurlement de silence obscène et démentiel comme figé d'absence L'ombre, née de la Terre, du mendiant décharné, rôde au pied du calvaire où naissent mes armées
je n'ais qu un bout de toile, que toile cette toison de regard; fil ainsi fait aussi maudi, que toile cette toison d'envie; l'accompli du tendre hasard, ainsi figé, aussi hagard; quintéssence des réves, illusions des sens;
Il est ton sacrifice et sa cr***233;ature Puisqu il est toute robes dont il s'est d***233;pouill***233; . Il est ton d***233;lice et son suplice puisqu'il est le ravage d'une vie de factice Il est ton orgeuil et sa fiert***233; puisqu'il est le propre et le proche de soi m***234;me Il est la semblance et son para***238;tre
Homoncule , vierge , menade nymphes et satires pour gardes chair a ton os et fleur de fer voit le signe de l'oeuil ouvert L'echo s'embusque le regard s'enfonce face a l'***233;p***233;e devant ce trou a travers les fers bless***233;s toi qui d***233;vores engendres tout
Crains le chant de la hulotte de ne point le voir arriv***233; ces mots sont des oboles et t'en sera chati***233; Hordes des hombres abolit ton nom ***233; outre raison gloire a l'arm***233;e des outrag***233;s aux linceuls des ames bless***233;s
L'amour de ses sottes id***233;es rendit le soi en nature admirable par les vertus d'un amour st***233;l***233; s'***233;vertue en oeuvre d***233;sirable parfait au coeur de perfection mouvant au mieux de l'abandon il est de source en soumission l'amour du sein et de passion
la jeune fille bleue peignée d’or de mer de mort l’amour en linceul de poussière mélodique sur le murmure des mystères impénétrables troubles calmes l’océan anonyme
LE SANG DE TES AIEUX RECLAME VENGEANCE Par centaines de milliers, Ils ont été déportés. Par centaines de milliers, Ils ont été assassinés. Et aujourd’hui, ces mêmes assassins Reviennent en maîtres et sauveurs Vers nous comme s’ils avaient à eux seul notre pain.
TERRE D’ESPERANCE Afrique, terre d’espérance, Quand sortiras-tu enfin du silence ? Quand pour ton développement seras-tu en partance ? Afrique, si seulement tu peux aller de l’avant Sans chercher à voir combien, de la noirceur, tu es distante, Afrique, si tu peux réunir tous tes enfants
Cheveux d'or et fines courbures d'un bel ***233;clair d'or***233;s Douces flammes se pavanent en reflet bleu argent***233; Crains le jeu du d***233;lice ainsi r***233;pandu glissent au corps d'une crini***232;re fendue. l'essentiel c'est qu'on sache voir , qu'on sache voir sans se mettre a penser. Les ruisseaux de...
UN HEUREUX RATE Juste au moment où le ciel me souriait Et que d’être bientôt un homme heureux je me plaisais Car de joie mon cœur battait Et Dieu déjà je m’imaginais, Un soleil noir point, Exterminant tout mon enthousiasme, Eteignant en moi la flamme
A la dérobée… Un regard cerné cruellement par le Rimmel. Un visage comme un livre. Un journal intime ouvert au hasard. Des mots de vie. Et puis des gens qui passent, marée terne, houleuse, grisâtre et infinie… Inattendu, un enfant pleure, on ne sait pourquoi. Les yeux sont clos. Le refuge...
Fête foraine. Sous les arcades, quelques vieillards poudreux tendent l’oreille à la rumeur citadine. J’écoute des airs de bastringue, chansons épaisses, poisseuses et lourdes, la Gueuze Lambic inonde les fontaines, Mort-Subite des pigeons… Fauchés dans la fleur métallique de leurs plumages...
une ile ,ocean de verdure et bleu azur teinté de milles fleurs et regard bleuté heritage d'autant de culture mascareigne d'intense beauté. tu reignes d'un suplice ephemere a l'histoire millénaire joyaux d'une courone diamenté au parfum sucré salé
Souvenir d'une interminable saison faite de reves et douloureuses illusions ou melancolie avait toute raison noyée; je me souviens de triste été ou j'errais dans des rues devenues inconnues sous les lances d'un soleil aveuglant d'arrogance, le regard caressant celle que je ne voyais plus je...
De longues heures passent Cette aiguille tourne et me lasse Décompte ces instants d'ennui Accablant cette joie qui me fuit Lentement l'ombre morose s'instale Ma vision s'égare au loin Dans cette pénombre qui s'étale Mon esprit en est l'unique temoin
L’Ephémère Dansant Qu'est-ce vivre ? Observer ? Ecouter ? Tenter de comprendre Ce qui bien souvent s'évertue à vous échapper Ou tout du moins ce que vous ne parviendrez jamais A embrasser dans son ensemble et sa vraie vérité ? Est-ce intervenir ? Défendre ? Tenter de sauvegarder
Liberté. A tous les esclaves qui se croient libres. A l’amoureux transis qui se pétrifie sur lui-même. Au travailleur acharné qui oublie d’ôter ses ornières. A l’adolescent assoiffé d’une identité de marques. Au consommateur repus en quête de nouveaux besoins. Au fou qui se cache derrière...
There are currently 6 users browsing this forum. (0 membre(s) et 6 invité(s))
Use this control to limit the display of threads to those newer than the specified time frame.
Allows you to choose the data by which the thread list will be sorted.
Order threads in...
Note: when sorting by date, 'descending order' will show the newest results first.
Forum Rules