Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
Tantôt , il y avait la une pensé Tantôt , investie de sa primauté En ruine aussitot que tombe le souhait et pointe le dernier manifeste du soupir , le désir résigné. Tantôt , elle juge et meurt Tantôt , esclave en son humeur Tantôt précipitée dans le malheur elle cherche la fuite...
:tit-ange la bas mon ange de volupté et resté pour l'été il m'a fallu encore traverser les chemins de la verité pourquoi tant d'eloignement à chaque fois pourquoi tant de dechirement ce n'est plus notre loi... la bas je vais...
la jeune fille bleue peignée d’or de mer de mort l’amour en linceul de poussière mélodique sur le murmure des mystères impénétrables troubles calmes l’océan anonyme
J’ai quitté ma terre voilà bien des centaines d’années J’ai quitté ma terre et depuis ; J’erre sans savoir où je vais. Chaque porte à laquelle je frappe reste fermée, Chaque porte à laquelle je frappe reste verrouillée. J’ai quitté ma terre voilà bien des années Je ne m’en souviens plus je...
A vous...............
Qui en veut ? La confiture d'espoir, à consommer sans modération :rpas La crème d'un regard le sucre d'un mot fou mes envies d'enfants je ne suis rien sur sa lèvre rien que toute le terre au lunes blèmes J'espère encore
La démence (Sonorité très Ferréenne) La démence c’est ça… C’est tout ce que je vois de sept heures à minuit Le jour qui se lève et sa mélancolie C’est le bouton pressé de la télévision C'est la mort en direct qui montre ses jupons Avec une folie… qui passe dans ma tête
Aux brumes de la nuit des enfers j’ai perçu La femme centaure de blessures, traversée Que l’animal vénéré dans un geste insensé A tenaillé de douleurs ; D’un raffut effronté ¤ Dans un sage mouvement magique j’ai vu La femme centaure d’orgueil au teint comblé Dans une chevauchée...
A travers la fenêtre, Je parcours l'horizon Dehors, loin du bien-être Du poêle de la maison. Un brouillard s'aventure En ce pays veilleur. Un léger vent pâture Ces blancs moutons d'ailleurs.
Chant divin, Harmonieuse melodie parcourant mes sens, J'ere sur ton chemin, Cherchant desesperement ta presence, Je n'ose dire que tu me manque. Melancolie passagere, Ou folie ephemere, Comment reprendre gout a la vie, comment croire, garder cet espoir,
L'humain se demandait sur sa fin, Le démon lui dit enfin: Toi,pauvre humain Toi,méprisable créature, Tu était triste dans le passé tu le sera encore dans le future l'homme devint tout effrayé qu'il oublia son courage il était si ennuyé
J'aproche la démence De l'invisible dessin En profonde errance Linceul en mon sein.....quel suplice .. !! Heureux de cela qui ont vues deux fois Pris aux plaintes , déliées , délirées , démesurées . Heureux de ceux ci qui ont vues deux fois Pris aux douleurs les tertres brulés.
La honte ça vous met le coeur tout au fond plaqué il ne peut plus ni bouger ni respirer. La honte ça vous lancine dans les oreilles une chanson aigre dans les veines, à petites doses, ça vous injecte du vinaigre. Ca vous fait le sang rance à force de porter les fautes commises celles des...
:bl) la jalousie mere de tous les vices,celle qui ne fait que supplice.. la jalousie celle qui m'envahis,sans retenue je t'es perdu... toi ombre noire d'un moment egaré,toi qui surgit quant on ne si attend pas.... je t'es cotoyer maintes et maintes fois sans jamais...
La joie partout autour de moi, Seul à prêcher dans le désert, Lorsque je vois le désarroi Les autres voient un fait divers. Le pire de tout, c'est d'être incompris De passer pour un chieur ou un con, De voir dans le regard d'autrui Comme un soupçon de dérision.
La langue de statue La poésie, ou l’art couillon à formuler du désespoir... Un énoncé du pire… Le théorème d’une langue, non officielle, dressé comme un listing du malheur et de la rime… Et qui se prévaudrait académique ! Du verbe... Rien que du verbe, à mesurer du triste… L’ampleur...
La Lumière La lumière naît en choeur avec la vie. La prière plaît aux coeurs grâce à l'envie. L'aurore triomphe du soir par sa vertu. Tout cela ne fait qu'un, essence de l'homme, Combustion nécessaire du je vers tu, Protégeant ce soleil précieux par vélum.
LA MENDIANTE Affalée sur le bitume Qui l'aggrippe & l'enrhume, La mendiante prie pour des jours meilleurs Dont elle ne connait la couleur Que dans les yeux des cravatés sans coeur ; Ils passent sans même la regarder Trop occupés avec leurs portables à bavarder Avec leurs femmes...
On ne distingue plus ni le ciel ni la terre, Le vent fouette les pêcheurs Et les mouettes crient en coeur Les couleurs se mêlent comme une aquarelle Et le rouge semble couler dans l'eau bleutée.:je-nag:je-nag
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