Forum: 8- Forum des poètes, le coin des artistes ...

bonjour tout le monde, je viens juste de m'inscrire et j'aimerai avoir vos avis concernant mon poème. le guerrier invincible Oh ! Mon cœur serait tu entrain de mourir De connaître la souffrance et tout ses empires Toi, qui jadis fût le guerrier invincible Ta...

Acte Premier...pendant l'ivresse. Déchéance de la jeunesse contemporaine (couplets sur l’air du « petit vin blanc », Refrain sur l‘air qu‘on voudra bien lui prêter…) Elle était pas farouche Elle avait une belle bouche Je me suis dit : "houla!"

Que faire ? Que dire ? Je me sens impuissant, totalement désarmé, perdu dans le vague de cette passion dans laquelle je navigue, dérivant jour après jour, indéfiniment. Je devrais me lancer, lui crier mon amour. Je devrais lui parler, pour qu'elle sache à son tour. Je devrais me confier....

:Boff Bonjour, Je souhaiterai savoir dans quel musée est exposé "Galatee et Pygmalion" de Jean Leon Gerome. Je pensais qu'il s'agissait uniquement d'une peinture, or sur un site de poésie, j'ai vu l'"autre face de la scène". Savez vous s'il existe aussi une sculpture et où la voir? Merci

J'ai pas fait attention aux syllables aux autres, j'ai juste laissé parler... Alors voila le dernier: Si tu savais.... Si tu savais ô combien je t'aime, Peut-etre lirai tu ce poème. Si tu savais ô combien je souffre, Peut-etre me sortirai tu de ce gouffre.

hélas...dans cette vie tout se fane tout périt la beauté le sourire des enfants la béatitude? la jouissance des amants a+

:Ac) a chaque fois c'est pareil, il faut revenir pour en fin de semaine repartir, nous le savons mais à chaque fois cela est plus dur encore.. le lundi jour de deprime où il faut que je quitte ton corps à l'aurore je dois partir et je saigne de ne plus t'appartenir.. ...

Tu étais si belle Dans la lumière d'été Tu étais celle Dont j'ai toujours rêvé Tu t'es avancée Et tu m'as souri J'étais envoûté Tu m'avais ébloui

Comme un sous marin à la dérive, Je divague et je me prive, Je supplis et je suffoque, Je me moque et je pris, Mes semblables les astres, Pour qu'il me sortent de se désastre, En me tendant de manière fraternelle Leurs douces mains charnels, Mais capitaine je ne peux plus rêver,

kijou viens avec moi , de zenon et cleanthe le puit de lune....et porteur d'eau

Defaite Je sens une ombre s'abattre sur nous, De rares bastions de lumieres subsistent pourtant. Mais Jalousie et Envie, les deux soeurs jumelles, Mère de la colere et de la haine, Vont nous reduire à la banalite; Sombre et calculatrice, Elles emplissent la lumiere de sombre tenebres... Je...

Comment faire pour sourire dans cette pièce grise ? Le matin tous les matins toujours les même chemin la même tête boursouflée que tu comprimes entre tes mains douloureusement, toujours pareil comme une prière au dieu du court-circuit, de la mauvaise prise. La même chaise qui garde les...

Quelque vieux textes retrouvés (et surement à retravailler) : Poésie Ma raison se perd dans la brume de mon cœur Et loin de moi passe les jours et les heures Alors mon âme se dévoile dans sa douce mélancolie Et sous mon crayon ma voix se délie Flot de larmes inavouées versées sur un bout...

L'inspiration Je ne pourrais pas vous dire ce que c'est. Peut être est-ce une faculté. Ou bien un don. En tout cas, c'est elle qui m'a trouvé. Pendant un grand moment de dérision. Avec une tête remplie d'idées noires qui la torture. Et c'est comme ça, que l'inspiration a trouvé sa...

La petite mort Seule au milieu de ce silence .... Un écho qui me ramène à moi-même ....

La réelle compassion.... Comment se définit-elle exactement ? Une de mes connaissances vient de perdre en 6 mois sa femme et trois de ses meilleurs amis.... Difficile de réagir en conséquence, à part quelques mots de tendresse et faire sentir à l'autre sa présence, comme un cadeau....pour le...

LA MENDIANTE Affalée sur le bitume Qui l'aggrippe & l'enrhume, La mendiante prie pour des jours meilleurs Dont elle ne connait la couleur Que dans les yeux des cravatés sans coeur ; Ils passent sans même la regarder Trop occupés avec leurs portables à bavarder Avec leurs femmes...

A travers la fenêtre, Je parcours l'horizon Dehors, loin du bien-être Du poêle de la maison. Un brouillard s'aventure En ce pays veilleur. Un léger vent pâture Ces blancs moutons d'ailleurs.

Fleuves… Il trempait dans le Gange ses mains de musicien. Fleurs d’avril brisées que le courant flétri. C’était un autre temps… Les anciens du village accroupis sur les rives, Les yeux vers le couchant, fumaient en devisant D’étranges cigarettes dont les volutes épaisses

Qui en veut ? La confiture d'espoir, à consommer sans modération :rpas La crème d'un regard le sucre d'un mot fou mes envies d'enfants je ne suis rien sur sa lèvre rien que toute le terre au lunes blèmes J'espère encore