Forum: 8- Forum des poètes, le coin des artistes ...

Je reste juge Admire un vrai massacre Le sang coule dans la rue comme l'eau sur la montagne J'ai les larmes qui viennent perler au bout des cils On meurt si facilement J'ouvre la bouche comme pour goûter à l'impensable Fermez vos yeux, serrez vos points, l'heure de disparaître est arrivée....

Combiens atout coeur la dame au trefle se parre de bonheur ce valet passé en passev oublié la mabche caché a l'as dévoillé le roi est perdu la dame effronté

Le fou, le sage La période était bleue, la solitude immense, Lumineuse, la nuit de Montmartre était une parenthèse Quand, plus haut que les fumées et les rires, Pablo, Tu inventas l’Espagne, dans les feux du Chat-Noir. Tu naviguais, peuplé de rêves ovales et roses, Formes aux contours...

Acte Premier...pendant l'ivresse. Déchéance de la jeunesse contemporaine (couplets sur l’air du « petit vin blanc », Refrain sur l‘air qu‘on voudra bien lui prêter…) Elle était pas farouche Elle avait une belle bouche Je me suis dit : "houla!"

LE CIEL DE PARIS – (1) Le ciel de Paris Peut-être est-il gris Le ciel de Paris Aussitôt on l’oublie Le ciel de Paris Dans tes mains salies

Ou es tu ? Que fais tu ? Dans ma vie ininterrompue . Que faire ! Que plaire ! Quand mon heure trompe la hardiesse Que m'en aille la divine sagesse Que me tait le besoin incongrues Dans l'esquisse d'une devine inconnue Comme ne laisse le libre ingénue

Je tue Lorsqu’il te Alors tue me Et je tout seul.

Laminoirs et Hauts – fourneaux. Nostalgie. Flânons en remontant le temps Que la mémoire souvent rumine Les compagnons des temps d’usine Qui se pressaient, café « passe-t’en ». Un foulard gris sur le museau

Ce matin là , dans mon école Il y eut un rêve d'enfant Que les virgules ne s'y collent En cet art contraignant Le Maître de classe nous disait Respecter ligne et pointillés Points de tâches et soignée En parfaite grâce la dictée

Ce matin là , dans mon école Il y eut un rêve d'enfant Que les virgules ne s'y collent En cet art contraignant Le Maître de classe nous disait Respecter ligne et pointillés Points de tâches et soignée En parfaite grâce la dictée

La ville se fuit elle-même, Et mon cœur a cru aimer Pour mieux m’endormir, Et me sentir délaissée ; La foule cache ses fantômes ; Toujours les mêmes âmes, Qui se reconnaissent entre elles Et s’oublient ensemble. Et je n’ai pas pu renoncer à aimer.

... Sur le chemin sans arrêt le coeur avance telle une craie il grave sur le tableau de trop courtes soirées l'expérience du bonheur et de la vie aimée. garance (vive les vacances !!!)

La vie que je n'ai pas Le repos d'esprit me manque être ce que je ne suis aussi Mes journées sans soleil alternent avec des nuits sans sommeil Ma vie n'a pas de but précis je me laisse vivre

La première fois que je t'ai vu J'etais completement perdu Je me suis évadée dans tes yeux bleus crus Puis, on c'est regardé, on a discuté J'etais heureuse, ton charme m'a envoutée Et plus tard tu m'a embrassé Aujourd'hui je ne comprend pas, je n'ai jamais su, Je ne vois vraiment pas ce...

La vérité existe...dis leurs! La vérité est humble, si humble Si on savait sa puissance transformatrice Sa force invincible! Dans l'instant elle peut tout transformer selon son vouloir! Patiente, si patiente Douce Mais aussi si ardente!

Qui a mesur***233; dans sa main l'eau de la mer Evalu***233;e sa grandeur et peint son bleu Petit oc***233;an au regard vert Colorie tes yeux Grand ouvert La vague..... Vague... Une vague, Une vague ***233;gar***233;e Au tr***233;sor d'insouciance

La Tasse de Thé Sur l'adagio du concerto pour fortepiano kv41 de Mozart Un jeune philosophe, ayant perdu le sentier, pleurait en grosses larmes la vanité du monde. Ses sombres méditations l’avaient enfin éclairé, mais d’une lumière fade et qui lui soufflait, d’un ton sans émotion, le vide...

Une pluie tropicale courrait par vague sur l’asphalte. Bientôt la rue s’est nimbée d’argent. Les motocyclistes se cachaient sous des capes en plastic. Et puis la pluie à cesser Et la ville pleine de désirs contradictoires A recommencer à rugir

De jour comme de nuit , Le temps sans ke l'on ne s'en rende comte,s'ecoule S'en va lentement sur les chemins de la vie , Le chemin semé d'embuches, Nous force parfois a courber le dos A baisser les bras ,abandonner sa route Une route toute tracée Que l'on doit simplement explorer Avec un...