Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
Bonjour à tous.A-t-on besoin de omprendre un poème ? En voici un: poid de soie Bulle de de plomb qui compte à rebours Suitement de bris d'eau
Colères de Flandre - 1 Revendication des gueux. Ici, nous nourrissons les chiens avec de vieux ragots Et rions de tout. Nous refusons la cécité des charmeurs de nouvelles Leur onanisme peureux de critiques insensibles
La mer en bouteille D’une mer en bouteille à ses phrases d’errance J’en ai fait la chimie d’authentiques Espagnes Aux entames du jour en baisers de voyance Une amorce d’aimer sous un mât de cocagne
http://www.mespoemes.net/photos/theo_529745905_doute.jpg Sans doute Sur l'océan d'espoir aux vagues qui se creusent, Entre désert d'amour et îles bienheureuses, Sillonnant vastitudes d'amères solitudes Avides d'autres lieux et repues d'habitude,
Je tue Lorsqu’il te Alors tue me Et je tout seul.
J'osai un jour surprendre, entaché de fureur Les calamités douteuses D'étranges tentations Au creux du serpent noir, miroir du bonheur L'enfer était là, affreuse, Triste dilection J'arpentais, étonné, l'antre du créteur Où l'infâme coureuse tenait les réunions
Aube du 6 août… Je ne masquerai pas tes nuances Avec de lourds volets d’acier Bien que tu ne sois qu’apparence Approche-toi, je suis levé… Aussi vrai que je fuis la multitude Qui te dédaigne comme chimère Je guetterai en altitude
A droite ou à gauche : direction les sales cons Ils nous préparent tous une belle mort, va-t-on seulement se laisser faire? Après-coup qui aura eu tort? Notre parole sera sous terre. Face aux ego démesurés de pseudo-bouffons-dirigeants de cette immonde société,
... ET TOUT CONTINUE A Cécile VERHAEVER Tu sais, j'ai une myriade de muses Elles sont présentes dans mon esprit Lorsqu'une d'elle s'égare de ma nuit Une autre est en état de veille Et de l'ensemencement des années Je ne cueille que quelques fleurs sauvages Le reste...
Danse Danse pour moi Enlace moi de tes bras froids Viens te fondre en mon esprit Libère la souffrance de cette vie Profanateur de croyance, esprit malsain Mais révélateur d’un monde éteint Soumis à la répugnante loi Qui érige un dieu en roi
Bonjour, je suis étudiante photographe et travaille sur le sujet du déplacement et sur les lieux de passage (métro, gares etc...) De fait je suis allée dans ces villes européennes et recherche des poèmes ou romans d'écrivains ayant habité ces villes ou non pour avoir leur point de vue sur ces...
amateur de "versification", de chansons et de poésie, je vois que vous taquinez vous aussi la muse... voici 1 de mes "textes"... bonne inspiration à vous tous. Auto-dérision (…) Je rêvais d’ordre et de lumière Pour y planter ma liberté.
LE SANG DE TES AIEUX RECLAME VENGEANCE Par centaines de milliers, Ils ont été déportés. Par centaines de milliers, Ils ont été assassinés. Et aujourd’hui, ces mêmes assassins Reviennent en maîtres et sauveurs Vers nous comme s’ils avaient à eux seul notre pain.
Pierre mariée au ciel, hurlement de silence obscène et démentiel comme figé d'absence L'ombre, née de la Terre, du mendiant décharné, rôde au pied du calvaire où naissent mes armées
Voici un de mes premiers poèmes. Comme je ne les fait lire à personne, j'aimerais avoir vos commentaires sur ce poème, dites moi s'il vous plait ou pas . Merci d'avance! Coule mêche à ton visage, Rage pêcheresse en toi. Vois le siphon de ton coeur, Ni la chaleur ni l'émoi Moins le froid ne...
Il est mon coeur qui a fulminé, Ma pauvre ecchymose déferlée, Une clarté soudaine dans mon antre amère, Une hâche macabre et mortelle, une chimère. Telle une macchabée s'evertuant à vivre Creusant pour un jour trouver l'éclatante issue; Et fuir la nostalgie des sombres souvenirs Que...
Ma solitude Ma délicate solitude je t’encourage Reste prés de moi, amante dévouée Je veux te conter, écoute ma rage ! ¤ Entends dans cette nuit du désarroi La tristesse de ce corps fataliste
Fait-elle la morte ? Est-ce une des feintes Ou Défunte ? Optimo
Je sens une atroce sensation, Cette sensation je la connais. Elle me connait, Elle m'entoure, M'accable. Implacable démon qui rôde autour de moi, Il est entré en moi. Et maintenat je ne peux plus rester sage, Le mal est entré, Il est dans la place,
Etre née dans ce monde, c’est un peu comme rentrer dans un salon fumoir. On s’y asphyxie par la fumée que la pensée commune dégage, et en même temps, on les surprend eux-mêmes se perdre dans la divagation qu’ils créent. Les dévisager, avec dégoût, se consumer parce qu’ils pensent étroitement, parce...
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