Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
j'ai peur de tourner le dos et de voir derriere car elle me suit et me hante mon fameux hier sur mon chemin,j'ai reussi à surmonter mes peines des nuits qui m'ont fait tomber dans la haine il est reste ce que j'ai vecu pendant mon adolescence ces moments restent et demeurent oh l'innocence...
Ou es tu ? Que fais tu ? Dans ma vie ininterrompue . Que faire ! Que plaire ! Quand mon heure trompe la hardiesse Que m'en aille la divine sagesse Que me tait le besoin incongrues Dans l'esquisse d'une devine inconnue Comme ne laisse le libre ingénue
On n'aime plus ! Et nous ne sommes plus de ce monde, nous ne le vivons plus, et c’est le monde qui nous vit… Nous sommes les spectateurs d’un monde qui survit et qui nous survivra, que par une envie de savoir… Un besoin de connaître où nous allons, juste à nous regarder nous regarder,...
Quel espoir d'harmonie, dans cette sombre folie? Du plus petit ordre quotidien devenu un chaos public, s'érige un empire de structures, protégé par mille armures... armées jusqu'aux dents! Il s'agit peut-être d'un jeu... ou d'une compétition... Quel en serait l'enjeu? La gloire aux plus cons! La...
La mer en bouteille Regarde-moi vivant regarde-moi longtemps Regarde-moi craquant, et cette mer abjecte On dirait un bateau sans voile, qui se bat Regarde-moi là-bas, les os déjà rongés De souvenirs à vendre Regarde-moi vieilli... Et de peur ...Et d’ennui
Comme un sous marin à la dérive, Je divague et je me prive, Je supplis et je suffoque, Je me moque et je pris, Mes semblables les astres, Pour qu'il me sortent de se désastre, En me tendant de manière fraternelle Leurs douces mains charnels, Mais capitaine je ne peux plus rêver,
La petite mort Seule au milieu de ce silence .... Un écho qui me ramène à moi-même ....
- Lettre d'amour à une page blanche - Ses mots résonnent en moi plus forts que je n'aurais pu l'imaginer, Dès le premier regard, j'ai voulu ne rien voir, Les premiers sentiments je les ai étouffés sous l'oreiller ... Je n'ai plus de coeur, plus de tête ... Je ne suis qu'un néant...
I N D E L E B I L E J'ai goûté au bonheur ... j'ai encore son baiser sur mes lèvres ... Fantôme langoureux ... bribes de rêves qui se brisent ... J'ai oublié l'heure ... tu es partie en laissant en moi cette fièvre ... Môme amoureux ... mêlant le réel à l'absolu qui le...
La dryade au corps de liane, Au regard vert millénaire, Dont nos raisons s'enfuient, Chassées par les élans du siècle, Son rire au bruit de vent se perdant dans les branches, S'insinue dans les rêves des vivants et des ombres, Enracine ses bras dans le corps de Gaïa , Sur la peau de...
Et blablabla et blablabla.
pfffffffffffffffffffff !
Noyee dans la vapeur de mon the, je le contemple et le noye a son tour, ensemble nous formons un nuage, qui se dissoudra en larmes...
Tous mes membres brisés ce soir se sont grisés, Dans de doux vins divins pour noyer ma grisette … Hé ! Docteur ! ses yeux verts ! Gris ? - De grâce, lisez Ces vers déliquescents à ma tendre Lisette : « Ma camisole usée étrangle un coeur miné Car je rêve Lisou de te faire minette, Mais...
La Lumière La lumière naît en choeur avec la vie. La prière plaît aux coeurs grâce à l'envie. L'aurore triomphe du soir par sa vertu. Tout cela ne fait qu'un, essence de l'homme, Combustion nécessaire du je vers tu, Protégeant ce soleil précieux par vélum.
"Quand dans mon rêve tu dardes tes yeux sans pitié, -tes grands yeux malicieux- Mon âme de poète s'affranchie de toute piété Et, serpent sinueux, Va noyer de liqueur sur tes lèvres de satin Un baiser clandestin" ( erf ! )
Le Centaure Il galope éperdument Chevelure dans le vent Muscles bandés, haletant Le CENTAURE Fureur du sang et des sens Qui bouillonnent indécents
Ô Mère, ma Terre qui m'a accueillie! Ô Père, mon Ciel, Source de l'Infini! Témoins dans l'Univers D'une heureuse Harmonie En laquelle j'espère, Je m'inspire et je vis Vous portez mes prières, Libérant mon Esprit Et je rends grâce au fond A ce qui nous unit
Lame de couteau plantée en croix, Comme un éclair de satin gris, Ouvre en corolle petites lèvres, Pour y saigner la triste loi. Vieillard scalpel aux dents d'acier, D'un air de sage et en souriant, Arrache la femme au corps d'enfant, A son nid de paradisier.
Un pied devant l'autre et tu avanceras En avant ou en arrière à toi de voir Tout dépendra de ce que tu choisiras Que serait donc pour toi l'avant de ton pied ? Les orteils ? C'est ton choix Tout petits, très mobiles, Ils te permettront donc d'aller de l'avant Et le talon ? Pourquoi pas
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