Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
Ce délictueux monde et sa déliquescence me pourchasse, dès mon réveil, le stress m'a déjà gravie, remuer ma bouche afin de dessiner un faible sourire m'est inapplicable, je ne la sens même pas. A vrai dire, un unique poids que je puisse distinguer: cette lagune languissante, ce leitmotiv continu de...
Fait-elle la morte ? Est-ce une des feintes Ou Défunte ? Optimo
Je tue Lorsqu’il te Alors tue me Et je tout seul.
Il a scruté l'univers De ces yeux sans frontières! Il a poignardé l'instant Dans la crampe du temps! Il a violé l'ecorce des mots D'un spleen de maux! Il a détruit l'architecture du coeur
Voici... un appel contre la guerre en Irak. L'Homme nage sur la côte Est C'est une belle journée Les problèmes ont été indexés Le rythme de la vie vient de lâcher du leste Le temps passe et le soleil se couche Te voilà en pleine mer D'ici, on ne voit plus la Terre
Ah..:nono Mon coeur est brisé aujourd'hui , voilà pourquoi je vous envoie un poème un peu triste... (membre du cercle de poètes virtuel...) Mon cœur balance Entre plusieurs amours Mon cœur se balance Dans je ne sais quelle bravoure Mon cœur te balance Et jamais je ne renonce à t'aimer
*********L’été m’emportera ********* elle est venue pour moi dans l'été, la mort j'aimais tant la vie mais j’ai été frappée à mort par celui que j'aimais j'ai eu si peur, aussi Les coups pleuvaient sur moi
Les papillons de tes yeux. Ils volent, ils butinent et leur fragilité Est leurs écailles qui se disséminèrent doucement Ils dansent un ballet qui ne dure qu’un été, Et se posent sur le coeur d’un doux dément. Ils crient et seuls ceux qui rêvèrent qu’ils étaient eux, Entendent leurs pleurs...
BUSSY fete l'anniversaire de la mort d'Edgar Poe à la librairie des batignolles 48 rue des moines 75017 Paris le 5 octobre à 11 heures et le 11 octobre à 17 heures à la librairie millepages 133 rue de Fontenay Vincennes pour plus d'info http://www.the-stylus.com
Je sens une atroce sensation, Cette sensation je la connais. Elle me connait, Elle m'entoure, M'accable. Implacable démon qui rôde autour de moi, Il est entré en moi. Et maintenat je ne peux plus rester sage, Le mal est entré, Il est dans la place,
Defaite Je sens une ombre s'abattre sur nous, De rares bastions de lumieres subsistent pourtant. Mais Jalousie et Envie, les deux soeurs jumelles, Mère de la colere et de la haine, Vont nous reduire à la banalite; Sombre et calculatrice, Elles emplissent la lumiere de sombre tenebres... Je...
J’ai la machoire qui tremble Ne plus y penser, ne plus y penser. Je suis pourtant mieux il me semble, Il faut y penser, il faut y penser. Je suis fatiguée de mots, mon coeur ment. Ne plus y penser, ne plus y penser. Le chêne perd ses feuilles et l’hiver arrive, Ne plus y penser, ne plus y...
"Nord-Est" est le premier tome de la série "Des Gens qui Marchent" Sous la chaleur du Nord-Est brésilien, Louise et José vivent un quotidien parfois calme comme le balancement d'un hamac, souvent chaotique comme à l'arrière du bus circulaire qui les emmène tous les jours au centre de Canto. Dans...
Ce beau bout de viande délicat parcours mes avides prunelles pour le bien de ma pelle Et s'ouvre sur moi abîme et l'embarras Caresse mes passions, les frétillements loin de mes mains, m'angoisse les fructeuses vibrations de ses arguments Emmène mon crâne dans la pensées poisse
Que mon cœur burlesque se meurt dans les tréfonds De l’ocean des larmes pluvieuses ne te mens plus Car jamais, les yeux des Autres insufleura le déchu Amour perdu aux allures de haine qu’On Récupère facilement, et qu’on glappe le train De la vie que peu empreinte, neamoins joue Le servile...
Je viens d'apprendre que je fais des apparitions dans les songes de mon ange gardien, à plus de 1000 kms de moi.... Cela me fait immensément plaisir.... J'adore voir ses yeux briller sous l'effet du bonheur... Qu'y a t il de plus beau que l'amour dans les yeux de son amour....Même si la différence...
Tas d’os Groupé par de fins film se superposant Contenant pulpe et sang Des lèvres polissonnes de son rose séché Insuffle à l’odieuse roidissement l’inclinaison des ridé affairés Oh ! fille de découverte tu fis lors des bagarres Enjoué De tes petits pied battant la seche terre et la rosée...
L’ouragan frétillant meurtri son énorme tube Glisser la Terre, et pleuvoir les maisons larmoyantes Verdâtre fondue qui d’un soleil cramoisi dévalant Le grabataire flanc d’une poussière enjaunée La gelée des murs creuse le bleu spirituel des gueuses De la paresse entre ses mains les pièces...
La journée effaçait ses dernières clartés, endormait ses ultimes instants de vie. La nuit s'illuminait alors, de toutes ses astres, et accordait à la terre cette douceur de par un firmament lacté. Je m'étais faite belle ce soir là, mes yeux s'allumaient de hâte. J'étais vêtue d'une longue robe...
:yingyang petite fille j'ai croisé une jolie fille au detour d'un chemin .... j'ai croisé un regard au bout de ce train.... j'ai admiré ses mains avant d'en prendre soin..... j'ai decouvert un etre si fragile.... j'ai sourie a son destin si docile....
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