Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
Gaia. Les sources Tes sources, rumeurs radieuses de mon enfance, Douillettement, mystérieusement cachées, Sous les pierres des déserts immenses Se tarissent mortes et souillées
Cathédrale d’Amiens. Tes pierres de miel chaud gorgées du soleil d’or, Douze petits apôtres accrochés aux perrons. Un portail ombragé, Un doigt levé bien haut sur l’horizon douillet des cités accroupies. L’écho majestueux d’une clameur médiévale. A l’heure pourpre et sanguine des horizons...
Voici un de mes poèmes... En ces lieux rouges et noirs J’écris un Poème sans espoir La mort va prendre un être qui m’est cher Me rejoignant dans ce gouffre de l’enfer Toi, dans ton lit froid et malsain Peu à peu ton regard se fera vide et lointain S’estompera alors ta croyance en ce dieu
Dans la ville aux attraits serviles Les arcades tissent en rues dociles Un labyrinthe qui se coule majestueux Et les passants le parcourent si heureux Pour trouver en ces murs ce doux chaleureux. ¤ On se noie dans une verdure ombrée Dans ces parcs où cascadent enlacées Mille flammes d’un...
Le temps, cet ennemi redoutable, Ce soldat à lui seul une armée Qui décime l'humanité Depuis le fond des âges, Depuis que l'homme enrage De le mettre en cage Et de retrouver sa nuit de liberté. Les matins découverte Sur la Loire encore verte,
Ma vérité Ma vérité derrière mon esprit tu te caches Tu voudrais venir me voir en ta qualité Me donner la preuve de ta sincérité Mais tu as peur de l’autre, cet effronté ¤ Il est des instants où tu veux être délivrée De tous les tourments de la sage facilité Dire le juste en ayant...
L’INDECISION… Que de questions sous – tendues Restent dans le flou de l’imagination Toutes les lettres avalisées Ne peuvent te satisfaire Tu rends ma vie plus dure… Et mes inspirations dévastées Fallait – il que je les renie
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COMME PANTANI Je suis une âme errante aux fables fascinantes Qui marche dans la gare où les trains ne s'arrêtent plus Fatalisme lancinant & rimes grinçantes Pour le poète qui remarque que la clarté n'est plus Lorsque les autres sont tournés vers son retour Mon coeur bat au ralentit en...
Parmi l'ombre la houle se lève Divaguant au hasard dans la chevelure des algues Attelées contre l'herbe grise les conques tanguent Une femelle, dans l'un de ces ventres, s'est assoupie D'autres errent, visages d'albâtre, spectre des fêtes passées Et leurs mains jointes et gourdes forment...
:Ac) :Ac) :Ac) Je t’aime:Ac) :Ac) :Ac) Il fait froid, il fait sombre à l’image de mon cœur Je suis à peine vêtue. Je trébuche sur une croix de pierre glacée. Je tombe. Je n’en peu plus Je n’ai plus de forces Je rampe désespérément parmi les tombes. Seuls les messages...
Lettre à mon artiste Pas très fidèle auditrice ni d’ailleurs ailleurs … Dans mes pensées je suis tantôt là tantôt là –bas… Avec vous je m’amuse à être votre Muse… Je vous écoute et je suis remplie d’envie d’aimer et d’exister encore et...
Comme elle allait s'agitant dans ses rêveries, ombres pâles de son front chevelu Deux arbres gris dégouttaient leurs feuilles d'ambre, qui glissaient doucement contre les fenêtres Ici, une femme se recueille contre la soie foulée et le sommeil, Un pied renversé la suppose, objet précieux...
Sous l'azur lourd et ardent Séchaient une à une les larmes de sa peau Qui perlaient puis coulaient le long de son dos Avant de s'échouer sur le sable d'argent Epuisée, elle cheminait tranquillement Happait patiemment le rare souffle du vent Laissant derrière elle des empreintes indélébiles...
Frustration Je suis celui qui plante les arbres de haine dans les cours des palais blancs. Celui qui taille en biseau les cimes de vie des grands sapins centenaires. Qui poursuit la nuit, les rêves envolés et les songes perdus. Les paumes de mes mains ont vieillies trop vite. Elles saignent...
C'est un poême de Nietzsche :) Entre amis Il est beau de se taire ensemble, Plus beau que de rire ensemble, Sous la tenture d'un ciel de soie, Adossés contre la mousse du hêtre, De rire affectueusement avec des amis, d'un rire clair, et de se montrer les dents blanches.
«Les hommes sont des poèmes écrits par leur destin » Al Maari Arthur, marcheur-murmure La couleur d’une ombrelle A taché l’ocre du souk
Ils sont tous là, les yeux comme des couteaux, Aiguisés jusqu'à l'éclair, la tête trop remplie. Ils sont tous là, les pieds dans la même histoire A l'intérieur de l'histoire. Si proche du changement. Leur haine est-elle saine ? C'est bien compréhensible. Ils crient, ces sons de liberté qui...
Moi.... Vous gardez bien là le vase clos D'opportun savoir en cet enclos Car de votre aplomb sans faille Je ne sais rien qui vous aille ! Vous niez bien fort mon idéal Pourquoi donc en faire un dédale ? N'auriez vous donc pas l'obligence
Il a scruté l'univers De ces yeux sans frontières! Il a poignardé l'instant Dans la crampe du temps! Il a violé l'ecorce des mots D'un spleen de maux! Il a détruit l'architecture du coeur
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