Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
DES COULEURS ... A : M. NORA Amis, je sors de mon hibernation Mon arbre isolé frémit de nouveau Une brise capricieuse s"envole Décrit ses plus belles danses Et les rameaux apprivoisés se balancent A la mesure de la caresse du vent Mon canari dans sa cage dorée
NI MUSE ... NI ÂME ... Et ma muse se détend sans sa plénitude Un monde de rêves et de mille évasions Ses yeux en amande fixent mille visions Et moi je suis ailleurs dans l'autre altitude Séparés par nos coeurs, nos âmes nous relient
Je vous avais prevenus
J’ai passé des vacances magnifiques à tes côtés Mais c’est malheureusement fini, Nous voilà repartis pour un mois et demi, Je ne pourrai te toucher que par la pensée. Tu es loin de mes bras, Tu me manques déjà, Nous avons été séparés pendant un mois Ce fut dur de le passer sans toi.
BUT: Démasquer Pablo Picasso pour relancer le dessin d'interprétation. Comment participer à cette aventure? Savoir dessiner pour redessiner le maximum d'oeuvres de Picasso, réalisées de 1907 à 1973. Selon ma thèse, une peinture de Cézanne: "Madame Cézanne dans un fauteuil rouge" lui a permis de...
Je voyais, cette nuit, lalune se coucher avec un grand sourire pour laisser place au soleil Chauves souris et hirondelles battaient des ailes ensemble Cette nuit je jouissais des couleurs vives que me diffusaient l'obscurité nuptiale Je me suis a fremir d'un bonheur soudain lorsque j'ai aperçu...
3/9/4 J'ai les globules blancs dépressifs & je tombe malade, sans défense Quand je me mets à évacuer mes écrits crades. le diable danse dès que je lui compose un hymne pour son pays, contre des sous je vomis mes soucis à ma psy & signe mes sombres songes de mon sang périmé J'ai vu le...
SITTIN'ON THE BRIDGE Voici le défilé frileux de passants sans âmes, Les yeux vides rivés sur el bitume sur lequel le gris de leur vie est gravé Aucun d'entre eux ne ramasse la pièce d'un centime On ne peut rien en faire, alors j'en fait une rime Oui, il fait froid, mais rien n'est aussi gelé...
Pitoyable fillette Conditionnée par une société d’hypocrites. Pitoyable fillette Manipulée par des images numériques. Le vrai…le faux…à quelles lois devons-nous nous soumettre ? Misérable gamine Tu cherches des excuses, non bien sur : c’est la faute des autres.
Le saltimbanque mort rose Les gens rient quand ils pensent au saltimbanque Il tenait tellement aux oiseaux A la nature aux animaux Que s’étant épris d’une rose Il n’entreprit qu’une seule chose Vivre comme elle à ses côtés Vivre comme elle et puis l’aimer
Détresse sentimentale Tel un castor estropié Ne pouvant plus nager, J’ai aperçu tes yeux, J’ai voulu m’y plonger. Conciens de mon erreur je ne peux reculer, Ivre de ton image qui imprègne mes pensées, Je ne te demande qu’une chose, Catherine veux-tu m’aimer ?
DESTIN Bien souvent ma part obscure Comme un diable enragé reprend le dessus; J'entends de nulle part un doux murmure, celui d'antiques amours jamais déçus. Un éclair surgit, j'entrevois la vie nouvelle... Je sens les cris désespérés de quiétude et sagesse
L'oiseau Un oiseau qui va Un oiseau qui sait Une route sans fin Seul lui la connait Un chant de désespoir Celui d'un mal aimé Loiseau Un oiseau qui meurt Un oiseau qui nait
Rue des martyres.... il y avait un diable déchu, Qui avait renoncé à son mal. rue des martyres, il y avait un ange aux yeux clairs, qui avait déifié sa personne. tu ne redescendras pas... complainte d'une poète qui perdit son coeur dans la folie...à pas plus de 17 ans...
Les sangs noms Quels regrets d'avoir un jour prié Dieu... J'ai arraché ma paire d'yeux & je les ai balancé dans le caniveau qu'ils ont dévalés jusqu'à mon père qui regarde l'avenir, par terre, la pierre est la même que celle du coeur des hommes si tous les chemins mènent à Rome, celui ci...
Sentier mental (26/02/2004) Là où je suis, la vie me gène, Et le plus triste : elle est sans toi. Assis je contemple les plaines, Malheureusement tu n'es pas la. Ma vue se perd dans les nuages, Vite remplacés par les étoiles. Les cieux m'annonce un doux présage :
La ville se fuit elle-même, Et mon cœur a cru aimer Pour mieux m’endormir, Et me sentir délaissée ; La foule cache ses fantômes ; Toujours les mêmes âmes, Qui se reconnaissent entre elles Et s’oublient ensemble. Et je n’ai pas pu renoncer à aimer.
Lagrimas de oro En tu cuerpo querer para llorar: De nada. no puedo Llorar Para querer. quizas, quizas reir esperando todos los dias que tu comprendes Que yo quiero un personaje que tu eres
Désespoir Désespoir, quand tu nous envahis ! C'est toujours par surprise que tu viens, Dans les lieux où on t'attend le moins. Quand tu viens tu es mon pire ennemi. Tu viens dans nos vies pour les détruire, Anéantir tous nos projets, Tout ce qu'on a essayé de construire, Et tout notre...
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