Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
Bounjour, Comme je l'ai dit dans le forum 4, je suis à la recherche de magiciens/magiciennes du nord, pour créer en ses cités un spectacle de volutes épaisses une âme d'amis et de créateurs, pour que le verbe résonne et que tinte la beauté de la nature humaine. Au revoir
ET ELLE EST DE RETOUR … A : Lepoetethorgal …Et elle revient de loin Comme ces oiseaux migrateurs… ! Une petite valise à la main Seule, assise sur le pas de ma porte Un sourire sur ses lèvres mouillées Elle n’a pas changé depuis son départ Elle a conservé le même regard
UNE VISION … UN RÊVE …Et je demeure figé Entre l’éclat du jour naissant Et les rayons qui jouent avec la chevelure Elle avance à contre jour Entre les mouvements du corps Et l’ondulation des cyprès de l’alentour J’essaie d’intercepter l’image De soulever la robe diaphane
Mes pas ne me mèneront plus Sur aucun chemin amoureux Mais dans cette bulle de tendresse Que tu crées avec ton sourire Non compté et à moi destiné Je t'amicâlinerai volontiers Je ferai de mon corps Une rondeur accueillante Ma peau aura cette acuité de l'écoute Qui fera frémir tes lèvres à...
Le cheval et la poule s’amusaient dans le champ Quand soudain l’équidé tomba dans la gadoue. Il criait « au secours ! », s’enfonçant dans la boue Jusqu’à ce que l’oiselle entende le plaignant. La belle se rua près du bord de l’étang Découvrant son copain en train de s’envaser. Comment le...
Je me permet cette modeste improvisation sur l'humanité. A l'instant je tape cette phrase, je ne sais pas combien elle vas faire de lignes, ni ce que je vais dire dedans, mais bon, il faut des névrosés pour que les normaux se rassurent. Nous disions donc : Oh, humanité, nous sommes le 11...
être près de ma génitrice m'est aussi douloureux que du sel sur mes cicatrices j'ai perdu le souvenir d'être heureux quand j'étais un foetus, je rêvais de fausse couche Tes oreilles il faut que tu te les bouches pour ne pas être contaminé par les pigeons qui s'envolent de ma poésie qui...
Il est mon coeur qui a fulminé, Ma pauvre ecchymose déferlée, Une clarté soudaine dans mon antre amère, Une hâche macabre et mortelle, une chimère. Telle une macchabée s'evertuant à vivre Creusant pour un jour trouver l'éclatante issue; Et fuir la nostalgie des sombres souvenirs Que...
O lumière perçant les Ténèbres, viens à moi... Parce que je suis le centre d'un feu qui se propage, de ses coulées de laves a n'en plus finir, je calcine hommes et villes, tous, innocents. Je ronronne dans mes nuits et crépite aux tournants des plus accentuées, laissant brûlée la nature entière...
Etre née dans ce monde, c’est un peu comme rentrer dans un salon fumoir. On s’y asphyxie par la fumée que la pensée commune dégage, et en même temps, on les surprend eux-mêmes se perdre dans la divagation qu’ils créent. Les dévisager, avec dégoût, se consumer parce qu’ils pensent étroitement, parce...
Le fou, le sage La période était bleue, la solitude immense, Lumineuse, la nuit de Montmartre était une parenthèse Quand, plus haut que les fumées et les rires, Pablo, Tu inventas l’Espagne, dans les feux du Chat-Noir. Tu naviguais, peuplé de rêves ovales et roses, Formes aux contours...
Cathédrale d’Amiens. Tes pierres de miel chaud gorgées du soleil d’or, Douze petits apôtres accrochés aux perrons. Un portail ombragé, Un doigt levé bien haut sur l’horizon douillet des cités accroupies. L’écho majestueux d’une clameur médiévale. A l’heure pourpre et sanguine des horizons...
Des images tournent Elles fredonnent. Des images tournent Tourbillonnent. Des images tournent M’emprisonnent. ...
Le condamné Par ce temps là, assis dans le noir, mes souvenirs surgissent. Une impression fulgurante d’étouffer qui vous prend la gorge et vous l’assèche, Je l’ai déjà fait en vrai, une main après l’autre sur ma gorge serrée, un cœur qui palpite de plus en plus fort puis viens la descente...
Ciel de Flandre. Le ciel de Flandre est comme un rêve sans horizon, Et qui ondule, furieux, retenu en sourdine, Une palpitation coléreuse ravine Les labours aux senteurs de pluie où l’air est bon. Aucune haie et aucun chant. Tous les oiseaux rompus Nichent au creux des blessures...
Message de Palerme. Le jasmin vibre sous la treille Et les oiseaux soyeux sont lumières de l’aube Comme les oliviers sous le souffle du sirocco Mes pensées frissonnent dans le jardin Garibaldi Aux couleurs solennelles Et mes chagrins s’enfuient dans l’ombre de la Martorana Chapelle...
Chant du chaman. Odeurs suaves de l’ondée, je vous hume Au milieu de mon âge depuis Ce printemps de légende où je vivais sur les sommets. Vous tous, génies de la haute saison Quand j’errais au couchant dans la sérénité Je me souviens de vos soupirs feutrés
Chant divin, Harmonieuse melodie parcourant mes sens, J'ere sur ton chemin, Cherchant desesperement ta presence, Je n'ose dire que tu me manque. Melancolie passagere, Ou folie ephemere, Comment reprendre gout a la vie, comment croire, garder cet espoir,
L'Holocauste fut un véritable génocide Voilà soixante ans, de mort et de souffrance On tua des innocents aussi innocents que l'enfance Six millions d'êtres humains dans l'enfer de Satan Pourquoi autant de violence Était-ce du racisme De la xénophobie ou de l'antisémitisme Pour une...
Tu vois, j'ai bon espoir de pouvoir espérer, Alors, j'aime à croire sans jamais désespérer, C'est ainsi je me transcende à t'attendre, Une flamme que passion et espoir engendrent, Un frisson de conviction a fait envoler, Les craintes et les appréhensions asphixiées, Le désespoir est un bien...
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