Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
je n'ais qu un bout de toile, que toile cette toison de regard; fil ainsi fait aussi maudi, que toile cette toison d'envie; l'accompli du tendre hasard, ainsi figé, aussi hagard; quintéssence des réves, illusions des sens;
tu as une étoile sur le front, Un baiser dans le fond Et des yeux qui grandissent Chaque fois que je glisse Une pensée entre tes mains, Un mot de gamins, A l'école de la rue Au café où on nous a vus.
....A lire sur Nicolas de Rosanbo Les arbres sont en lambeaux ces jours-ci Moi à fleur de peau, Si près des larmes. Entre les êtres, la haine menace ; Pourtant ils se disent leurs souffrances Comme des lettres d’amour.
Pour une boule de feu, une boule de rien. C'est un rêve fou, c'est seulement le mien, Avec une fille belle comme un matin, Un regard, un sourire qui m'étreint. Boule de rien, boule de feu. C'est mon plus tendre voeu. Je me perds dans tes yeux Pour m'éviter d'être vieux. Pour...
Le Passant J'ai les pieds d’un fauteuil dans deux croissants de lune Et des rêves à bascule en voyage immobile Des chemins de rousseur, des forêts, des musiques Et les pas d’un oiseau dans un livre d’étoiles J’ai le temps des lumières au pluriel de l’âme
Ce soir j'entends la pluie tombant sur ma fenêtre. Je vois les éléments qui dehors se déchainent, le vent souffle violemment, de toute sa haine, je ressens l'orage grondant à quelques mètres. La nature, aussi furieuse puisse-t-elle être, ton visage m'apparaît, et je n'ai plus de peine. Mon...
Comme une zombie, je déambule Où suis-je? Je suis ridicule Les yeux grands ouverts Pourtant je me perds Mes idées ne sont pas claires Est-ce toi alcool d'hier? Machinalement, j'emprunte des chemins Mais seule, je me sens si loin
une ile ,ocean de verdure et bleu azur teinté de milles fleurs et regard bleuté heritage d'autant de culture mascareigne d'intense beauté. tu reignes d'un suplice ephemere a l'histoire millénaire joyaux d'une courone diamenté au parfum sucré salé
LE CIEL DE PARIS – (1) Le ciel de Paris Peut-être est-il gris Le ciel de Paris Aussitôt on l’oublie Le ciel de Paris Dans tes mains salies
Je suis à la recherche d'un poème d'Aimé Cesaire sur Martin Luther King, qlequ'un peut me donner des renseignements?
j'ai peur de tourner le dos et de voir derriere car elle me suit et me hante mon fameux hier sur mon chemin,j'ai reussi à surmonter mes peines des nuits qui m'ont fait tomber dans la haine il est reste ce que j'ai vecu pendant mon adolescence ces moments restent et demeurent oh l'innocence...
Je suis extrème-lyrique, les sens branchés Sur les battements rouges-métaliques De mon coeur survolté éléctronique Je joue apassionata les jeux romantiques peut-être trop... J'ai des fleurs épiléptiques de poèmes fannés Des chroniques d'operas nostalgiques Quand les calories d'amour...
Qui es tu, toi la vie ¤ Qui es tu toi belle vie, d’où viens tu ? Je me promène adossé à ta présence Tu me tires le long des jours advenus Pourrai-je cesser de te suivre en tous sens ¤ J’aurai voulu être absente de ta volonté De me déposer là, fille du rien absolu
Rû secret Oiseau Idée L'eau coule Trois plumes Dans le cas Sonore Légères D'Archimède La foule ...
J'ecris, pourquoi? je ne sait pas. pourquoi avoir un pourquoi d'ailleur? je ne sais meme pas pourquoi, alors... mais bon ce que je sais c'est que j'ecris. A qui j'ecris je ne le sais pas encore peux etre à personne.. qui sait? personne peut etre. Ca veut rien dire tout ca mais bon, rien ne...
Cité des Colonnes. Le pinceau des phares jaunes sur le Malecõn caresse le bitume de sa lueur coquine. Baisers de sucre à l’hôtel Sévilla, à l’heure des cocktails. Frivolités, bonnes fortunes… Au coin du Paseo et de la 19ème rue
Liqueure, ô passion mon heure Que nous passions mon coeur Ces soirs si doux, en pleurs. Le ciel pesait sur nos têtes Plus d'un milier de ces fêtes Que tu aimais tant, mon coeur. Toi à mes lèvres Et montante la fièvre Je te bois, Liqueure.
Les artifices de ce monde ne sont que misère Qui, d'un sang impur, souille à jamais notre mère. Pleure l'enfant sans avenir condamné au ténèbre. Il mendie, rampe, vole et vit comme une ombre Qui, petit à petit, disparaît, englouti par la nuit. Là-bas, dans ce futur proche, plus rien ne luit...
Quelques instants.... de quelques minutes Précieuses de ce temps, de cet humble moment Comme une prise de vue, plus de tourment. Chéri! Si seulement on pouvait arrêter les aiguilles, Si seulement on pouvait stopper le temps, Si seulement, on pouvait... L'immortaliser juste pour un moment, Si...
http://http://www.zyna.biz/img2feuilles.gif Visage, beau visage... A la fois chair et sève... J'ouvre les yeux sur toi - non que ma nuit s'achève, Mais le soleil paraît, qui sur tes traits se lève En m'éclairant le vrai de cette part de rêve. Louis Latourre http://theatreartproject.com
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