Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
In Memoriam. Sur les Hauts de Meuse au Sud de Verdun Ton grand Meaulnes est couché dans la fosse commune. In Memoriam… 4 avril à la Woëvre, Grand Gibus à bien froid Tes boutons, cher Louis, luisent sur ta capote… Ensanglantée…
Objectif ultime : décrocher toute la nébuleuse, et arracher une à une les étoiles, fussent-elles filantes. Objectif pénultième : ne pas stationner sur la voie de garage Envol fugitif par delà le noir si peu téméraire vers une brillance émanant d’une égratignure. Et tenter de...
RE/NAISSANCE… … Je ne fais que la regarder Les cheveux dans le vent On dirait les chants du crépuscule Qui viennent donner un autre concert Rien ne semble l’atteindre Elle est là Elle est ailleurs… !
L’INDECISION… Que de questions sous – tendues Restent dans le flou de l’imagination Toutes les lettres avalisées Ne peuvent te satisfaire Tu rends ma vie plus dure… Et mes inspirations dévastées Fallait – il que je les renie
Cité des Colonnes. Le pinceau des phares jaunes sur le Malecõn caresse le bitume de sa lueur coquine. Baisers de sucre à l’hôtel Sévilla, à l’heure des cocktails. Frivolités, bonnes fortunes… Au coin du Paseo et de la 19ème rue
Reflets du Bosphore. J’ai dans les yeux les remous du Bosphore qui scintillent, libérés… Après la prière de l’après-midi, je bois le thé ardent avec le marchand de lampes… Istanbul, comme un songe en pointillés… Les filles portent un anneau au nombril…
:tit-ange Il est des anges Qu'il ne faudrait pas approcher Des anges Qu'il ne faudrait jamais rencontrer Des floçons de neige, Ne jamais embrasser. Il est des moments
Doux et calme Tout tremblant La nuit est rouge Un coma d'étoiles Des diamants dans les yeux La bouche cousue de mensonges Rien ne bouge Tu souris
Irlande, 1982… Passager éphémère, espère le solstice d’été, pose sur les docks ton sac de chimères. Six mois de pause dans ton périple, Titanic Bar, Comté de Cork. J’ai aperçu les bords du monde, lorsque je faisais la route. Faudrait l’écrire à l’encre-nuit dans la poussière noire de...
Alors que s’obscurcissent jusqu’aux ténèbres… Alors que le voyageur le plus ardi a perdu son chemin… Alors que l’espoir a déserté l’esprit du sage… Alors que le vent souffle sur ce frêle bourgeon… Un ange se tient au dessus de tous, lumière étincelante au cœur de cette spyrale de folie… Les...
Que penser vous Du poeme : Je suis née d'une décision Si je ne suis pas cru Donné moi ma raison Je vous dirai mon vécu Quel tristesse qu'on l'on peut obtenir D'un seul touché, d'une simple erreur Si l'on obteins que le pire En vivant que l'Horreur Que dois-Je faire
Les Yeux :yingyang Dans chacun d’eux existe un Feu Où règne la Femme et l’Homme Heureux Ils bercent en larmes leur plus haut vœu Quand ils regardent un autre qu’eux Ils sèment des fleurs sur leur chemin À chaque battement de leur destin Les autres disent qu’ils sont marins
Laminoirs et Hauts – fourneaux. Nostalgie. Flânons en remontant le temps Que la mémoire souvent rumine Les compagnons des temps d’usine Qui se pressaient, café « passe-t’en ». Un foulard gris sur le museau
A un seul appartiendra, qu’à un seul cœur bon. Se mêlera à la vie pour un destin exceptionnel et magnifique Loin des obscures fréquentations tout sauf pacifiques A un seul appartiendra et jusqu’au dernier souffle nous aimerons. Plus le temps s’écoule, comme un sablier silencieux Plus je...
Stable Comme une table Je t’ai écrit une fable Et je cessais d’être instable Comme un morceau de pierre friable Ou une jolie voyageuse toujours indiscernable Ou encore certainement qui cherche tout sauf un minable Et qui attend un peu mieux que de toujours se payer le rable Qui aime bien...
:berrt: Ceci n’est pas une utopie. Nous , poètes écrivains relégués parfois dans des asiles psychiatriques, relégués psychotiques ou paranoïaques ou encore autre pathologie, n’avons pas la place dans les asiles psychiatriques, et pourtant nous soignons nos corps nos esprits et nos âmes et les...
Mon vieil ami, l’ennui… Les jours sommeillent… Sous les hésitations muettes des vents de février. Le jardin attend au détour d’un brouillard. Dans le sofa profond d’un salon endormi Les heures de sursis, le beau temps de l’ennui… Drapée de souvenirs et de...
Coyoacàn L’exposition, couleurs de sang… L’éternelle enfant Est couchée sous le lourd baldaquin. Sonnent les chants sacrés de Tehuantepec Vent des canyons, brûlant et sec
Quelque vieux textes retrouvés (et surement à retravailler) : Poésie Ma raison se perd dans la brume de mon cœur Et loin de moi passe les jours et les heures Alors mon âme se dévoile dans sa douce mélancolie Et sous mon crayon ma voix se délie Flot de larmes inavouées versées sur un bout...
:yingyang voila deja plus de 4 mois que je ne suis pas venu sur le chemin de la verité ou tous les symboles et les dictées sont posés par nos vies tellement enrichie...quel plaisir de pouvoir enfin de nouveau ecrire et appartenir et vivre cette eternité posé comme sur du papier!! a tres bientot...
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