Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
venez tous dans ma communauté :) POUR MON SITE LE VRAIE J EN FAIS DEUX UN POUR LES MANGAS ET UN AUTRE POUR LES POETES ARTISTES PHILOSPHES.........!
Le Chant des Partisans Ami entends-tu Le vol noir des corbeaux Sur nos plaines. Ami entends-tu Les cris sourds du pays Qu'on enchaîne, Ohé partisans
J'aimerais avoir votre avis sur ce genre de poème : L'Idole Sonnet du Trou du cul Obscur et froncé comme un oeillet violet Il respire, humblement tapi parmi la mousse Humide encor d'amour qui suit la fuite douce Des Fesses blanches jusqu'au coeur de son ourlet.
La Vie est avant La Mort est après. Sois sans soucis Sois mon amie. Toi, si pleine de Vie Toi, si pleine d envies Toi, si pleine de soucis. Ne craints rien, Ne craints rien. Repose en paix mon amie
La poésie que je lis ici, beaucoup de "je t'aime ma chérie, tu es la lumière de ma vie..." & autres jérémiades pathétiques, des descriptions de jolies paysages bercés de gentils nuages des écrits à l'eau de tulipe de la flotte de fiottes à la consistance de crotte De l'illusion à boire...
Quel espoir d'harmonie, dans cette sombre folie? Du plus petit ordre quotidien devenu un chaos public, s'érige un empire de structures, protégé par mille armures... armées jusqu'aux dents! Il s'agit peut-être d'un jeu... ou d'une compétition... Quel en serait l'enjeu? La gloire aux plus cons! La...
(vie)olée Violée, Bafouée, jetée dans un enfer plus bas que terre se sentir seule dans l'humidité d'un gouffre à l'odeur de honte sans que personne ne puisse savoir tout au fond à quel point on souffre Violée, Le souvenir suintant de la pire des salissures s'emparant des songes telle...
... ET TOUT CONTINUE A Cécile VERHAEVER Tu sais, j'ai une myriade de muses Elles sont présentes dans mon esprit Lorsqu'une d'elle s'égare de ma nuit Une autre est en état de veille Et de l'ensemencement des années Je ne cueille que quelques fleurs sauvages Le reste...
Souvenir d'une interminable saison faite de reves et douloureuses illusions ou melancolie avait toute raison noyée; je me souviens de triste été ou j'errais dans des rues devenues inconnues sous les lances d'un soleil aveuglant d'arrogance, le regard caressant celle que je ne voyais plus je...
Mon cœur saigne... Les gens l'ont torturé Il a séché... Mon cœur...mon désert Il pleure, L'aube a dévoilé ses sentiments Il n'est plus splendide La rosée chatouille ses soupirs Oui, qui ont toujours étaient à cause d'eux ! Alors tous ses sens se soulèvent
Partir au loin à travers les nuages et rechercher peut-être un lien entre nous deux S'endormir au son d'une de ces guitarres, dont les cordes se nouent et s'enroulent Essayer de courir plus vite que le vent, pour attraper au vol une main solitaire Vouloir ne faire qu'un, n'être plus que soit...
Le temps, cet ennemi redoutable, Ce soldat à lui seul une armée Qui décime l'humanité Depuis le fond des âges, Depuis que l'homme enrage De le mettre en cage Et de retrouver sa nuit de liberté. Les matins découverte Sur la Loire encore verte,
Le saltimbanque mort rose Les gens rient quand ils pensent au saltimbanque Il tenait tellement aux oiseaux A la nature aux animaux Que s’étant épris d’une rose Il n’entreprit qu’une seule chose Vivre comme elle à ses côtés Vivre comme elle et puis l’aimer
Encore un poème, Pour toi mon amour, Encore et toujours, Pour toi que j'aime... Nos débuts difficiles, laissent place à l'idylle, Notre relation maintenant épanouie, En ton sein je m'évanoui.
A L’ECART… Combien de fois on essaie de me lire Sur le fond d’une toile mouvante Les lignes de ma main sont hermétiques Comme les strates géologiques D’une ère indéterminée dans le temps Et tout se limite A une égratignure superficielle Je vous invite au grand voyage
A la dérobée… Un regard cerné cruellement par le Rimmel. Un visage comme un livre. Un journal intime ouvert au hasard. Des mots de vie. Et puis des gens qui passent, marée terne, houleuse, grisâtre et infinie… Inattendu, un enfant pleure, on ne sait pourquoi. Les yeux sont clos. Le refuge...
Le cheval et la poule s’amusaient dans le champ Quand soudain l’équidé tomba dans la gadoue. Il criait « au secours ! », s’enfonçant dans la boue Jusqu’à ce que l’oiselle entende le plaignant. La belle se rua près du bord de l’étang Découvrant son copain en train de s’envaser. Comment le...
A la jeunesse, si douce et si rebelle, l'enfant encore innocent qui grandit, qui apprend que la vie ne se déroule pas comme du papier à musique. Il y a la petite fille sur son vélo qui attend impatiement que les deux roues en trop s'en aille pour qu'elle devienne une grande fille. Il y a la...
Je laisse la vie couler en moi parourir mon corps couler le long de mon épiderme. La vie si violente qu’elle me foudroie. Torturé, tourmenté : je suis un pédéraste tourmenté j’ai l’âme d’un pédéraste torturé. Je laisse la vie me pénétrer toute...
A la Marée des solitudes Tu te souviens, La Solitude ? Tu te souviens, qu'on était toi et moi qu'une seule lueur, une unique passion, d'inséparables causes… Je n'ai plus la notion de l'heure, ni du mal, ni du bien, maintenant ! Et toi qui me disais «demain», nous serons mieux « d’hiers »...
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