Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
Les longs passants. Qui sont les longs passants qui parcourent la ville Au crépuscule, en parenthèses, dans l’éclat des néons ? Sans espoir de retour et de mots murmurés De longs impers chargés de pluie et de remords Ils ne demandent rien et n’osent s’emporter Ils n’ont plus de chagrin,...
Objectif ultime : décrocher toute la nébuleuse, et arracher une à une les étoiles, fussent-elles filantes. Objectif pénultième : ne pas stationner sur la voie de garage Envol fugitif par delà le noir si peu téméraire vers une brillance émanant d’une égratignure. Et tenter de...
Le temps vient de s'arrêter Sur une pendule trop usée. Mon regard désabusé, Quittant cette entêtée, Se promène sur la rosée Incertain et enfièvré, Cherchant un nouvel été A tout jamais égaré.
Tu vois, j'ai bon espoir de pouvoir espérer, Alors, j'aime à croire sans jamais désespérer, C'est ainsi je me transcende à t'attendre, Une flamme que passion et espoir engendrent, Un frisson de conviction a fait envoler, Les craintes et les appréhensions asphixiées, Le désespoir est un bien...
le monde semble si plein, si remplit de tout. il semble, en effet, si grand que je crois qu'une seul vie ne suffirait pas à en faire totalement le tour. mais pourquoi fallait-il que ce monde soit si grand! le vertige?non , ça ne me fait pas peur, en fait, qu'ai-je vraiment à perdre au fond?...
Chant du chaman. Odeurs suaves de l’ondée, je vous hume Au milieu de mon âge depuis Ce printemps de légende où je vivais sur les sommets. Vous tous, génies de la haute saison Quand j’errais au couchant dans la sérénité Je me souviens de vos soupirs feutrés
Ce délictueux monde et sa déliquescence me pourchasse, dès mon réveil, le stress m'a déjà gravie, remuer ma bouche afin de dessiner un faible sourire m'est inapplicable, je ne la sens même pas. A vrai dire, un unique poids que je puisse distinguer: cette lagune languissante, ce leitmotiv continu de...
Cœur du vent Quand je puise mon inspiration au cœur du vent, Bien des choses inhabituelles, je ressens ; Alors, je me laisse porter par les sensations, Jusqu’à en oublier mon corps et mes passions. Je brise toutes les chaînes de ma raison, Pour que l’âme s’envole au-delà de l’horizon ;
Silence A cette date que tu penses. Qui ne te panse pas A cette fille qui danse, en marge du calendrier A cette mort aux yeux, cent fois dans l'autobus A ces deux mains, sans toi... Qui sèment des soleils Et qui te font chanter
Gris-Nez au matin… Au plus massif du granit Je sculpterai tes courbes marines Les goélands d’un coup de plume Garderont ton souvenir lustré Et le flot se ruant Très loin sur les falaises Le vent sifflera ta chanson
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