Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
une ile ,ocean de verdure et bleu azur teinté de milles fleurs et regard bleuté heritage d'autant de culture mascareigne d'intense beauté. tu reignes d'un suplice ephemere a l'histoire millénaire joyaux d'une courone diamenté au parfum sucré salé
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la jeune fille bleue peignée d’or de mer de mort l’amour en linceul de poussière mélodique sur le murmure des mystères impénétrables troubles calmes l’océan anonyme
Ajoutez un vers, il y en a pour trois seconde: http://www.sakkat.cafewiki.org/index.php?EnseMble
Liberté. A tous les esclaves qui se croient libres. A l’amoureux transis qui se pétrifie sur lui-même. Au travailleur acharné qui oublie d’ôter ses ornières. A l’adolescent assoiffé d’une identité de marques. Au consommateur repus en quête de nouveaux besoins. Au fou qui se cache derrière...
A la dérobée… Un regard cerné cruellement par le Rimmel. Un visage comme un livre. Un journal intime ouvert au hasard. Des mots de vie. Et puis des gens qui passent, marée terne, houleuse, grisâtre et infinie… Inattendu, un enfant pleure, on ne sait pourquoi. Les yeux sont clos. Le refuge...
Comme elle allait s'agitant dans ses rêveries, ombres pâles de son front chevelu Deux arbres gris dégouttaient leurs feuilles d'ambre, qui glissaient doucement contre les fenêtres Ici, une femme se recueille contre la soie foulée et le sommeil, Un pied renversé la suppose, objet précieux...
errance vague à l'âme le futur est compté, les projets sont descomptés, la vie s'en va, quelle errance a quoi bon, y'a plus de sens. un non-sens cette quête de sens c'etait au temps de l'innocence.
A UNE NOUVELLE AMIE A : IDA. MERYEM Je salue en toi la puissance du geste La simplicité et la sincérité de tes mots La rosée vient habiter le reste de ma roseraie Des perles affluent, appellent le soleil matinal Pour irriguer le coeur froid de chaque rose Je salue en toi la fraîcheur de...
Maintenant qu’il faut revivre Les brassières crèvent Et la surface se détend Ainsi le mouvement ne vient pas, Ni même l’instinct libérateur Ou la bouffée d’air Tant attendue ces jours-ci. La courbe de l’horizon se tortille sur
UN HEUREUX RATE Juste au moment où le ciel me souriait Et que d’être bientôt un homme heureux je me plaisais Car de joie mon cœur battait Et Dieu déjà je m’imaginais, Un soleil noir point, Exterminant tout mon enthousiasme, Eteignant en moi la flamme
Pierre mariée au ciel, hurlement de silence obscène et démentiel comme figé d'absence L'ombre, née de la Terre, du mendiant décharné, rôde au pied du calvaire où naissent mes armées
De longues heures passent Cette aiguille tourne et me lasse Décompte ces instants d'ennui Accablant cette joie qui me fuit Lentement l'ombre morose s'instale Ma vision s'égare au loin Dans cette pénombre qui s'étale Mon esprit en est l'unique temoin
L’Ephémère Dansant Qu'est-ce vivre ? Observer ? Ecouter ? Tenter de comprendre Ce qui bien souvent s'évertue à vous échapper Ou tout du moins ce que vous ne parviendrez jamais A embrasser dans son ensemble et sa vraie vérité ? Est-ce intervenir ? Défendre ? Tenter de sauvegarder
Aube du 6 août… Je ne masquerai pas tes nuances Avec de lourds volets d’acier Bien que tu ne sois qu’apparence Approche-toi, je suis levé… Aussi vrai que je fuis la multitude Qui te dédaigne comme chimère Je guetterai en altitude
L'amour de ses sottes id***233;es rendit le soi en nature admirable par les vertus d'un amour st***233;l***233; s'***233;vertue en oeuvre d***233;sirable parfait au coeur de perfection mouvant au mieux de l'abandon il est de source en soumission l'amour du sein et de passion
Bon ça fait toujours un peu gros lourd le mec qui vient d'ariver sur le forum et qui ouvre 30.000 threads mais bon là j'avais envie de proposer ce poème, donc vala... Éclot sans jet
MAITRES DE NOTRE DESTIN Quand les hommes comprendront qu’ils ne doivent pas souffrir d’avoir échoué ? Quand prendront-ils à deux mains leur courage pour affronter la vie qui ne tient qu’à les décourager ? Quand s’engageront-ils définitivement sans penser qu’ils ont à plusieurs...
ce poème n'est pas de moi. Il a été écrit par Armand Robin. Edgar Morin, parait-il l'appréciait. On supprimera le sens du mot au nom du Sens des mots, puis on supprimera le sens des mots. On supprimera le sublime
Forêts... Champs, collines et prairies Dépotoir de l'humanité Mélange d'air, d'eau, et de saleté Les forêts geignent Les oiseaux dans leurs chants se plaignent Des comportements irresponsables Déplacés, inhumains, blâmables La terre, les cieux et l'air, Enveloppés dans un linceul gris
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