Espace pour poètes en herbe, artistes et créateurs.
De longues heures passent Cette aiguille tourne et me lasse Décompte ces instants d'ennui Accablant cette joie qui me fuit Lentement l'ombre morose s'instale Ma vision s'égare au loin Dans cette pénombre qui s'étale Mon esprit en est l'unique temoin
Souvenir d'une interminable saison faite de reves et douloureuses illusions ou melancolie avait toute raison noyée; je me souviens de triste été ou j'errais dans des rues devenues inconnues sous les lances d'un soleil aveuglant d'arrogance, le regard caressant celle que je ne voyais plus je...
une ile ,ocean de verdure et bleu azur teinté de milles fleurs et regard bleuté heritage d'autant de culture mascareigne d'intense beauté. tu reignes d'un suplice ephemere a l'histoire millénaire joyaux d'une courone diamenté au parfum sucré salé
Fête foraine. Sous les arcades, quelques vieillards poudreux tendent l’oreille à la rumeur citadine. J’écoute des airs de bastringue, chansons épaisses, poisseuses et lourdes, la Gueuze Lambic inonde les fontaines, Mort-Subite des pigeons… Fauchés dans la fleur métallique de leurs plumages...
A la dérobée… Un regard cerné cruellement par le Rimmel. Un visage comme un livre. Un journal intime ouvert au hasard. Des mots de vie. Et puis des gens qui passent, marée terne, houleuse, grisâtre et infinie… Inattendu, un enfant pleure, on ne sait pourquoi. Les yeux sont clos. Le refuge...
UN HEUREUX RATE Juste au moment où le ciel me souriait Et que d’être bientôt un homme heureux je me plaisais Car de joie mon cœur battait Et Dieu déjà je m’imaginais, Un soleil noir point, Exterminant tout mon enthousiasme, Eteignant en moi la flamme
Cheveux d'or et fines courbures d'un bel ***233;clair d'or***233;s Douces flammes se pavanent en reflet bleu argent***233; Crains le jeu du d***233;lice ainsi r***233;pandu glissent au corps d'une crini***232;re fendue. l'essentiel c'est qu'on sache voir , qu'on sache voir sans se mettre a penser. Les ruisseaux de...
TERRE D’ESPERANCE Afrique, terre d’espérance, Quand sortiras-tu enfin du silence ? Quand pour ton développement seras-tu en partance ? Afrique, si seulement tu peux aller de l’avant Sans chercher à voir combien, de la noirceur, tu es distante, Afrique, si tu peux réunir tous tes enfants
LE SANG DE TES AIEUX RECLAME VENGEANCE Par centaines de milliers, Ils ont été déportés. Par centaines de milliers, Ils ont été assassinés. Et aujourd’hui, ces mêmes assassins Reviennent en maîtres et sauveurs Vers nous comme s’ils avaient à eux seul notre pain.
la jeune fille bleue peignée d’or de mer de mort l’amour en linceul de poussière mélodique sur le murmure des mystères impénétrables troubles calmes l’océan anonyme
L'amour de ses sottes id***233;es rendit le soi en nature admirable par les vertus d'un amour st***233;l***233; s'***233;vertue en oeuvre d***233;sirable parfait au coeur de perfection mouvant au mieux de l'abandon il est de source en soumission l'amour du sein et de passion
Crains le chant de la hulotte de ne point le voir arriv***233; ces mots sont des oboles et t'en sera chati***233; Hordes des hombres abolit ton nom ***233; outre raison gloire a l'arm***233;e des outrag***233;s aux linceuls des ames bless***233;s
Homoncule , vierge , menade nymphes et satires pour gardes chair a ton os et fleur de fer voit le signe de l'oeuil ouvert L'echo s'embusque le regard s'enfonce face a l'***233;p***233;e devant ce trou a travers les fers bless***233;s toi qui d***233;vores engendres tout
Il est ton sacrifice et sa cr***233;ature Puisqu il est toute robes dont il s'est d***233;pouill***233; . Il est ton d***233;lice et son suplice puisqu'il est le ravage d'une vie de factice Il est ton orgeuil et sa fiert***233; puisqu'il est le propre et le proche de soi m***234;me Il est la semblance et son para***238;tre
je n'ais qu un bout de toile, que toile cette toison de regard; fil ainsi fait aussi maudi, que toile cette toison d'envie; l'accompli du tendre hasard, ainsi figé, aussi hagard; quintéssence des réves, illusions des sens;
Pierre mariée au ciel, hurlement de silence obscène et démentiel comme figé d'absence L'ombre, née de la Terre, du mendiant décharné, rôde au pied du calvaire où naissent mes armées
Aube du 6 août… Je ne masquerai pas tes nuances Avec de lourds volets d’acier Bien que tu ne sois qu’apparence Approche-toi, je suis levé… Aussi vrai que je fuis la multitude Qui te dédaigne comme chimère Je guetterai en altitude
Pourquoi la majorité des poèmes ne parlent que d'amour????
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